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Il faut toujours un perdant

Numéros de page :
2 p. / p. 66-67
Un écrivain sur la trace d'une légende de la délinquance juvénile des années 1970, vue notamment par l'un de ses anciens comparses devenu avocat. Réalité et fiction, Bien et Mal, richesse et pauvreté : Javier Cercas décortique avec brio toutes les formes de frontières.