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L'Eté sans fin

16 septembre 2017
Numéros de page :
p.13
C'est à la locution latine dans son sens fort que se réfère Bernard Chambaz : « et cetera desunt- et ce qui reste manque », précise-t-il dès le début du livre. La « singulière » absence des êtres aimés se heurte au « soleil éclatant » de l'été qui souligne et accroît la présence des ombres.