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Le Sociologue et le post-social

16 novembre 2010
Numéros de page :
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A l'image de la mort de Dieu chez Nietzsche et de la mort de l'homme chez Foucauld, faut-il constater, avec Alain Touraine, la mort de la société ? Quel est l'intérêt d'un tel acte de décès sous les coups de la globalisation, avec la complicité agissante de la crise ? Dans notre bibliothèque mentale, quel va être le retentissement d'un ouvrage qui en éclaire d'autres, et notamment l'abondante littérature consacrée au bouleversement économico-financier que l'on vient de connaître ? Serait-ce la lueur d'un autodafé où sont brûlées les idées reçues ? Quelque chose se consume, encore faut-il comprendre quoi.