Max Ernst, ″mes vagabondages, mes inquiétudes″
Bulletin : <>Quinzaine littéraire 1055 - février 2012
16 février 2012
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Après André Breton, Jacqueline Lamba, Robert Desnos, Yves Tanguy, Yes Elléouët, Marcel Duchamp, Alan Glass, Wifredo Lam et Leonora Carrington, la collection DVD ″Phares″, entièrement financée par Aube Elléouët, la fille d'André Breton, s'enrichit d'un film consacré à Max Ernst. L'intérêt de cette collection tient à son éclectisme - et aux poètes - sans se soucier de leur plus ou moins grande notoriété. Certains, comme Yves Elléouët ou Alan Glass, sont peu connus et restent à découvrir. Le contraire de Max Ernst, dadaïste et surréaliste de la première heure, ″l'homme des possibilités infinies″, ainsi que le présentait André Breton lors de sa première exposition en France en 1921. Ce n'était pas si mal vu.