Disons-le tout net : les rares anthropologues qui osent s'aventurer sur le terrain du sport souffrent, auprès de leurs collègues, d'une image dégradée. Ils sont jugés coupables de s'intéresser à des pratiques superficielles, vulgaires (voyez tous ces hooligans !), inscrite de surcroît dans une modernité de mauvais aloi ( où sont les mythes et les rites, que devient la dimension religieuse, et que faire de la parenté dans tout ça... ?).