Portrait d'une jeune femme piégée entre un impossible idéal et une indépassable souffrance. Giacinta a 9 ans quand elle subit l'agression du jeune jardinier de la famille. Par la suite le lecteur suit les errances de la jeune femme qui ne sait pas retrouver l'origine de son trouble.

Cette autobiographie entraîne le lecteur au Centre Georges-Pompidou à Paris, de la Postdamer Platz de Berlin à l'auditorium de Rome, du centre culturel Jean-Marie Djibaou en Nouvelle-Calédonie, au musée de Sarajevo. C'est aussi le manifeste d'un créateur qui livre une réflexion sociale sur les villes et les banlieues, enrichie d'une réflexion esthétique sur le sens de la vie.

Olivier Favier a passé trois ans au contact des migrants ; il a réuni des entretiens, des analyses, des portraits, des reportages, qui décrivent à la fois les traversées des uns et des autres, les lois européennes, les conditions d'accueil à Calais et ailleurs. Les articles qui composent son ouvrage ont été rédigés entre octobre 2013, deux ans avant qu'on ne commence à parler de la « crise migratoire », et mars 2016, au lendemain du démantèlement de la zone sud du bidonville de Calais. Dans Paris, sixième ville la plus riche du monde, en septembre 2014 un campement de fortune s'est érigé au milieu d'un boulevard, dans l'indifférence presque générale. En mars 2016, aux portes de l'Angleterre, Olivier Favier a rédigé ses dernières chroniques au moment où la moitié d'un bidonville de plusieurs milliers d'habitants était rasée au sol par les autorités. Il a constaté pendant ces trois années passées aux côtés des migrants, combien accueillir dignement des êtres humains qui ont fui la guerre, la dictature, la misère, n'était pas une évidence communément partagée.

Interview de Moshe Bejski qui à partir de 1961, s'est mis en quête des hommes et des femmes qui ont choisi de sauver de Juifs de la déportation pendant la Seconde Guerre mondiale. Il explique également son désir de voir s'ouvrir cette reconnaissance à d'autres gens d'autres conflits armés comme la guerre en Yougoslavie ou au Rwanda.

Ces entretiens proposent un parcours du Centre Georges-Pompidou de Paris et de la Postdamer Platz de Berlin à l'auditorium de Rome, du centre culturel Jean-Marie Djibaou en Nouvelle-Calédonie au musée de Sarajevo. C'est aussi le manifeste d'un créateur qui livre une réflexion sociale sur les villes et les banlieues, enrichie d'une réflexion esthétique sur le sens de la vie. ©Electre 2023

Un fait divers authentique de la Seconde Guerre mondiale forme le point de départ de ce récit. Au printemps 1944, un officier allemand semblant fort aimable avec la population de la région de Cueno, dans le nord du Piémont, disparaît sans laisser de traces. Qui était-il ? A-t-il été tué et, si oui, était-il coupable ou innocent ?

Arno, un jeune garçon qui vit avec sa mère et son frère, aime observer les étoiles car il pense qu'elles sont vivantes, qu'elles le regardent et se sent ainsi moins seul. Lorsqu'il voit une comète, il exprime son voeu le plus cher : que son père, qui travaille loin de sa maison, revienne. Une histoire poétique dans l'univers imaginaire de l'enfance.

"Par les rues" réunit en un seul recueil en 1883 douze récits (dont dix publiés dans la presse à partir de janvier 1882) qui sont autant d'instantanés sur la vie milanaise de la fin du xixe siècle. Leur rythme lent, le ton légèrement amusé, parfois ironique, l'acuité descriptive, témoignent de la proximité de Verga avec les personnages et les situations qu'il a eu tout le loisir d'observer durant la vingtaine d'années où il a vécu à Milan. Ce volume réunit : "Amour sans fard", "Une histoire simple", La taverne des Bons Amis".

Des faits remarquables sur la diffusion des plantes grâce à leurs graines, de celle d'un palmier dattier, vieille de 2.000 ans, qui a germé en Judée, à celles de la bardane qui s'accrochent à la fourrure des animaux en passant par les noix de coco de plus de vingt kilos qui atteignent l'Irlande après avoir été emportées par le Gulf Stream. ©Electre 2023

Trois récits publiés en 1883 dans lesquels G. Verga offre des instantanés de la vie milanaise, décrivant sur un rythme lent dont le ton oscille entre amusement et ironie des situations et des personnages inspirés de son quotidien. ©Electre 2022

Antonio Ricci vit dans un quartier populaire de Rome avec sa femme et leurs deux enfants. Au chômage depuis deux ans, il trouve un emploi de colleur d'affiches, à condition qu'il possède une bicyclette. Sa femme en récupère une au mont-de-piété. Le premier jour de travail, sa bicyclette lui est volée. Il part à la recherche du voleur dans les rues de Rome. Roman adapté au cinéma par V. De Sica.

La sorcière Befana distribue les jouets aux enfants la nuit de l'Epiphanie. Mais elle n'est pas toujours sympathique et refuse parfois d'apporter des cadeaux aux enfants les plus pauvres. Les jouets prennent alors leur destin en main et partent à la rencontre des enfants démunis.

Recueil de quatre récits publiés en 1883, instantanés de la vie milanaise de l'époque. ©Electre 2022