4ème de couv : "«La littérature de la seconde moitié du XXe siècle est un terrain maintes fois traversé : y découvrir quelque chef-d'oeuvre oublié /.../ semble pour le moins improbable. C'est pourtant ce qui m'est arrivé à Londres, il y a une dizaine d'années. Je tiens Un été à Baden-Baden pour l'une des oeuvres les plus belles, les plus exaltantes et les plus originales de son siècle en matière de récit et de fiction. Outre la description de l'incomparable Dostoïevski, le roman de Tsypkin offre un extraordinaire parcours mental de la réalité russe /.../, un portrait retentissant et vivant de toute la littérature. Pouchkine, Tourgueniev /.../ et les grandes figures de la littérature du XXe siècle et de la lutte pour la justice - Tsvetaeva, Soljenitsyne, Sakharov et Bonner - sont également convoqués, déversés dans la narration. On sort d'Un été à Baden-Baden purifié, secoué, fortifié.» Susan Sontag, juillet 2001. "

4ème de couv. : "Ricardou étudie notamment, en, romancier, les problèmes posés par la description créatrice, la métaphore sctructurelle, la construction, et consacre deux chapitres aux relations du roman et du cinéma. Une observation attentive des textes lui permet de préciser en outre le rapport dialectique qu'entretiennent narration et fiction, la fiction asservissant beaucoup moins la narration qu'elle n'en n'est tributaire, et s'efforçant dès lors, à revers, allusivement, de la contester ne la racontant. Mettant l'accent sur les problèmes textuels, ce livre rejoint théoriquement certains travaux du groupe "Tel quel"

" Les Comptoirs du Sud " étaient des enclaves que la France possédait sur la côte méditerranéenne du Maroc. L'auteur qui a fait son service pendant la guerre d'Algérie raconte par l'intermédiaire du narrateur, la fin d'une de celles-ci, Chella. Tout le livre, écrit avec talent, est ambigu car mêlant des procédés destinés à " faire vrai " à des événements étranges dont on ne sait s'ils ont été vécus ou rêvés.