Royaume de France, 1307. Philippe le bel persécute les chefs de l'ordre des templiers dont il convoite les richesses ; Géraud, fils du grand maître Jacques de Molay, fuit Paris pour retrouver son amie Mathilde qui est enceinte de lui. Géraud veut faire de son enfant l'héritier des secrets des templiers et révèle enfin à Mathilde l'emplacement du trésor. Celle-ci met au monde la petite Marie. Rassuré à la vue de sa fille, Géraud repart aussitôt mais est assassiné dans une embuscade. Au même moment au château, naît un second enfant, un "enfant-crapaud" selon la croyance médiévale, jumeau malingre que Mathilde considèrera toujours comme responsable de la mort de Géraud. (4e de couverture)

L'histoire de la vie quotidienne est abordée sous l'angle culinaire : Le vin des Romains, des Gaulois, et des Français ; La façon de manger de nos aïeux ; Petite histoire du pain ; Art culinaire et personnages célèbres ; Petite histoire de l'huître ; Le repas du roi, et bien d'autres traditions.

Un éclairage sur les origines de ce conflit, première phase d'un affrontememnt qui devait reprendre moins de vingt ans plus tard et qui continue à peser sur l'histoire contemporaine. Qui étaient ces industriels dont la concurrence, les rivalités, allaient conduire à la guerre ? Qu'est-ce qui, dans les rapports mouvants entre diverses bourgeoisies conquérantes, la rendait inéluctable ?

Récit romanesque dans lequel se lit en filigrane les propres amours et escapades de l'auteure.

Lyrique et foisonnante, une poésie qui interroge le monde et ses transformations.

Des conseils destinés aux parents et visant à faire en sorte que l'éducation développe le caractère des enfants. En effet, selon les auteurs, une telle formation est aujourd'hui négligée au profit du développement des qualités d'intelligence et de la transmission des connaissances et fait défaut à la société.

Le rituel des fêtes est présenté selon les saisons et le calendrier : crêpes à la Chandeleur, le temps du carême, le 1er avril et ses célèbres mystifications, Pâques, sa fête et ses coutumes, etc.

La vie de Marie-Antoinette, reine célèbre par son destin tragique qui marqua la fin de la monarchie en France au XVIIIe siècle. Les auteurs se sont inspirés des mémoires et correspondances, des journaux et revues de l'époque, ainsi que des pièces d'archives publiques et privées.

Protectrice des arts et lettres grâce à son immense fortune, Lady Anna-Lisa s'apprête à passer une soirée tranquille. Son mari participe à un banquet d'anciens combattants. Un témoin a vu sortir de chez elle son amie Drusilla. Un meurtre parfait, mais l'inspecteur Higgins, appelé en renfort, a un doute et saura trouver l'origine de ce crime au trop parfait témoin.

L'opéra de Bizet,

August Bebel, dirigeant de la 2ème Internationale, auteur de La Femme et le socialisme, pre‘fac¸a, en 1909, la premie`re e‘dition de La Jeunesse d'une ouvrie`re, re‘cit autobiographique d'Adelheid Popp : « Gra^ce a` une volonte‘ de fer et a` un travail acharne‘ pour s'instruire, elle arrive, d'une fac¸on surprenante, a` combler les lacunes de son instruction. Elle brise les liens qui la rattachaient a` l'E‘glise de son enfance et devient libre penseuse ; remplie autrefois de respect pour la monarchie, elle devient re‘publicaine ; les dures expe‘riences de la vie en font une ardente socialiste et un champion de la lutte pour l'e‘mancipation de tous les prole‘taires. Sa vie est un exemple ». Ouvrie`re et militante socialiste, Adelheid Popp naquit en 1869 dans une famille pauvre, pre`s de Vienne. La mort de son pe`re la contraignit a` travailler de`s l'a^ge de 13 ans dans une usine de textile. D'abord catholique convaincue, ouvrie`re docile, elle s'e‘veilla lentement a` la conscience de classe et aux ide‘es socialistes. Une fois convaincue, elle ne cessa de militer. Oratrice, organisatrice, journaliste, elle parcourut toute l'Autriche, prenant la parole dans des centaines de re‘unions publiques. En 1892, elle devint la re‘dactrice en chef du Journal des Ouvrie`res, participant a` la campagne du Parti social-de‘mocrate pour l'e‘galite‘ politique des femmes, et pour l'e‘galite‘ des salaires. Be^te noire des autorite‘s, elle fut arre^te‘e et traduite en justice a` de nombreuses reprises. Pendant cette pe‘riode fe‘conde ou` le mouvement ouvrier socialiste se de‘veloppait, l'activite‘ d'Adelheid Popp ne se borna pas aux luttes des femmes ouvrie`res ; elle fut l'un des membres dirigeants du mouvement socialiste autrichien et de la IIe internationale, a` une e‘poque ou` les femmes n'avaient encore conquis aucun droit. Adelheid Popp mourut en mars 1939. En de‘pit de la terreur que faisaient re‘gner les nazis, ses