On se souvient mieux du compositeur polonais pour une poignée de pièces pour piano virtuoses, mais il produisit également un corpus important de musique orchestrale, principalement non interprétée depuis des décennies.

L'écossaise Helen Hopekirk (1856-1945), considérée comme l'une des principales pianistes de concert de sa génération, a également apporté une contribution durable en tant que professeur de piano à Boston après qu'elle y ait émigré en 1897. En tant que compositeur, elle a forgé un chemin intrigant se tournant vers la musique de son pays natal comme source de sa créativité. Les premières pièces peuvent ressembler à Brahms dans les Highlands, et ses oeuvres ultérieures se marient avec l'impressionnisme de Debussy et avec la musique folklorique hebrideenne, jusqu'à des effets évocateurs, touchants et exaltants. (Electre)