Alix dirige enfin son atelier de haute lisse, mais tandis que son mari est parti voir son oncle, cardinal au Vatican, elle se heurte à la malveillance des lissiers tourangeaux. Revenu de Rome, Jacquou rapporte comme modèles des portraits de vierges dessinés par d'illustres peintres. L'atelier prospère et Louise d'Angoulême lui passe commande. Hélas, la peste dévaste le Val de Loire...

Alix est rentrée d'Italie où elle a rencontré le seigneur Charles d'Amboise. Le commerce des tapisseries prospère et le duc d'Amboise qui restaure son château de Chaumont a réalisé une commande de scènes galantes. Séduite par les six tentures de La vie seigneuriale, Alix accepte d'en achever la fabrication. Mais le maître lissier qui a commencé les tapisseries en revendique l'entière réalisation.

Tandis que Valentine se destine au métier de lissière, Mathilde, sa jumelle, est attirée par la Cour qui la réclame. Le jeune François Ier est enfin monté sur le trône entouré des femmes dont il ne peut se passer : sa mère Louise d'Angoulême, sa soeur Marguerite d'Alençon, son épouse Claude de France, ses maîtresses officielles, Françoise de Chateaubriant.

En ce début de Renaissance, la jeune Alix est apprentie brodeuse au service de la reine Anne de Bretagne. Son rêve est de devenir lissière pour tisser des licornes mais, avant de parvenir à ses fins, elle devra vivre de nombreuses aventures où s'entremêleront son histoire personnelle et l'histoire de France.

Alix recherche un commanditaire. Elle rencontre Alexandro Van de Veere, un banquier flamand, qui devient son amant. Elle expose sa récente réalisation devant la guilde des Lissiers où ses adversaires l'accusent d'avoir copié...

Alix et ses filles suivent les déplacements de la cour royale de François Ier tout en continuant à diriger leurs ateliers en Touraine. Mais au-delà du Val de Loire prospèrent de nouveaux centres lissiers comme Fontainebleau ou Aubusson.