Le PDG d'Arcelor attise les divisions entre sites concurrents pour finir par imposer ses conditions.

Sa détresse a fait le tour des journaux télévisés. Le syndicaliste vedette de la CFDT à Florange renvoie la gauche à ses engagements nos tenus.

Retour sur la bataille gagnée, sur l'Etat français, par le sidérurgiste franco-italien ArcelorMittal, en 2013, avec la fermeture de ses derniers hauts-fourneaux de Lorraine. Une affaire au cours de laquelle la politique menée par le président François Hollande et le ministre du redressement productif Arnaud Montebourg s'est révélée être un fiasco avec de nombreuses promesses pour n'obtenir, au final, qu'un accord et des engagements bien maigres de la part d'ArcelorMittal.