C'est dans un contournement adroit du mot "moderne", sujet proposé pour trois ans par Thierry Raspail, directeur de la Biennale, que Ralph Rugoff, directeur de la Hayward Gallery et commissaire de l'édition 2015, a intitulé sa biennale "la Vie moderne". Cette nouvelle édition dresse un vaste panorama du monde contemporain. Ralph Rugoff évoque avec justesse, les limites du format d'une biennale, et propose une liste d'artistes relativement modeste : une soixantaine.

Sous le patronage du Londonien Ralph Rugoff, la 13e Biennale d'art contemporain de Lyon fait de la place aux oeuvres plutôt que de miser sur un message. Pari réussi pour cette édition parfaitement limpide.

Neuvième du nom, la Biennale d'art contemporain de Lyon 2007 a fait le choix du non-choix en confiant à une cinquantaine de partenaires la sélection des artistes. Amalgame désorganisé.

En choisissant pour thème le spectacle du quotidien, la Biennale de Lyon 2009, dixième du genre, privilégie une approche plus sociologique que franchement plastique. Effet de mode ou effet d'époque ?

"Décevante", "soporifique", "promotionnelle"... Les mots ont été durs pour critiquer la 12e Biennale de Lyon. Pourtant, s'il est certes peu spectaculaire, l'événement ne manque pas d'intérêt.

Le 10 septembre 2015, la planète art contemporain a rendez-vous à Lyon pour la quinzième édition de la Biennale de Lyon. Programmée une année sur deux, en alternance avec la Biennale de danse, la biennale "art" anime l'ancienne capitale des Gaules tout en ayant une "résonance" au-delà, jusqu'à Chambéry, Vénissieux et Firminy. Pour l'occasion, "L'Oeil" consacre un dossier de plusieurs pages à cet événement international. Sommaire. La biennale d'art contemporain de Lyon. Les musées incontournables de Lyon. Les rives de Saône.

Sous le titre évocateur ″Une terrible beauté est née″, la 11e biennale de Lyon interroge les angoisses et les espoirs de notre monde moderne. Une invitation à découvrir des artistes de tous horizons autant qu'à arpenter le territoire lyonnais.

Consacré au temps, la dernière Biennale lyonnaise d'art contemporain laisse transparaître la relation entre art et architecture. L'art dans l'architecture : la Biennale accompagne la politique urbaine de la métropole. L'art équivalent de l'architecture : tous deux tirent aujourd'hui leur essence de la durée dans laquelle ils s'inscrivent.

Sous la verrière de la superbe halle Tony Garnier, les oeuvres de cent vingt créateurs issus des pays, des cultures, des modes de pensée les plus variés composent une cinquième Biennale de Lyon qui se joue de tous les cloisonnements, de toutes les frontières, de toutes les hiérarchies.

La Biennale d'art contemporain de Lyon renoue avec les années impaires. Si elle avait exceptionnellement eu lieu en 2000 afin de s'associer aux célébrations du troisième millénaire, cette année, la Biennale marque son entrée dans le XXIe siècle avec une nouvelle formule.

Le projet excitant d'une biennale jeune, multipliant les regards croisés, peine à aboutir à un résultat convaincant.