Au début du XXe siècle, avant le triomphe de la biologie moléculaire, un savant autrichien tenta d'expliquer de manière purement physique la genèse des formes vivantes en la comparant à celle des cristaux.

Le footballeur Lionel Messi va toucher, durant son contrat au Paris Saint-Germain, 40 millions d'euros nets par an, ce que gagnent en un an 1500 français au salaire moyen. Ce salaire ahurissant peut également être mis en parallèle avec le budget dédié à la recherche en biologie-santé en France. Entre mars 2020 et mars 2021, en pleine pandémie de Covid-19, l'ANR (Agence nationale de la recherche) a par exemple financé pour 36 millions d'euros de projets directement liés au Covid, soit moins que le salaire de Messi.

Ils s'appellent les "biohackeurs", mais ne sont pas des pirates du vivant. Ils veulent au contraire faire profiter le plus grand nombre des possibilités stupéfiantes de la biologie.