Engouement croissant des entreprises françaises pour le team-building, devenu un outil de management quasi-incontournable et générateur de cohésion d'équipe. Tandis que les prestataires se bousculent sur le marché, nombreux sont ceux qui misent sur l'originalité des activités pour se distinguer. Du vol en apesanteur au cours de cuisine, en passant par des ateliers de percussion ou de théâtre, les entreprises redoublent d'inventivité pour souder leurs équipes. Mais attention à bien définir les objectifs de ces activités, de rendre l'exercice constructif, et de choisir le bon prestataire.

Tendance au ludique et au personnalisable dans les séminaires organisés par les entreprises françaises. Censés renforcer la cohésion du groupe, la gestion des équipes et la communication interpersonnelle, les ateliers concilient l'utile et l'agréable. La cuisine a particulièrement la cote : à la fois purement distractive et révélatrice de comportements sous-jacents, elle serait prisée à la fois des managers et des employés, qui y voient l'occasion d'appréhender autrement les forces et les faiblesses de chacun. Revue de détail des bonnes pratiques.

Nécessité de renouvellement sur le marché français du Mice, pour Meeting, Incentive, Convention, Event, soit les séminaires d'entreprise. Toujours dynamiques, les entreprises en France y ont consacré environ 8,55 milliards d'euros en 2013 (+1,1% sur un an), le secteur doit développer de nouveaux codes pour permettre aux entreprises d'offrir travail et détente à leurs salariés. Les tendances : les lieux culturels - une aubaine pour les organisateurs de séminaire français, le pays disposant d'un patrimoine exceptionnel, et les lieux de loisirs, majoritairement les parcs d'attraction.

Avec quelques années de retard par rapport à l'Amérique, les entreprises françaises se mettent à constituer des collections d'art. Objectifs, règles, pratiques sont en devenir. Sans oublier la question de la pérennité de la collection, qui prend tout son sens dans la crise économique actuelle

Chaude alerte : le financement public de la recherche a failli être amputé récemment de 30% pour cause de déficit budgétaire. Les chercheurs crient misère.

En un temps où les comités d'entreprise, responsables du développement de la lecture dans l'entreprise, semblent en proie au doute, ce colloque constitua une initiative remarquable à mettre au crédit du Centre de culture populaire de Saint-Nazaire.