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Gray, James (1969-....)

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La loi, la famille et l'art de la mise en scène. Avec "La nuit nous appartient", son troisième film noir en treize ans, James Gray confirme qu'il est l'un des plus grands cinéastes américains de son temps. Rencontre
Numéros de page :
4 p. / p. 74-77

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[...] James Gray ne faillit pas à la règle, comme on le lira dans l'entretien qu'il nous a accordé. A vingt-cinq ans, auréolé d'un Lion d'argent au festival de Venise - où nous l'avons rencontré -, il est la nouvelle révélation du cinéma indépendant d'outre-Atlantique, riche en talents juvéniles...
Numéros de page :
/ p. 4-11

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Un tueur professionnel revient à Brooklyn dans le quartier de juifs russes où il a grandi. Des retrouvailles impitoyables que ce jeune réalisateur américain observe avec la finesse d'un futur grand. Coup d'essai, coup de maître.
Numéros de page :
/ p. 71-72

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Dans "La nuit nous appartient", le cinéaste raconte comment la mafia russe a gangrené New-York. Epoustouflant.
Numéros de page :
1 p. / p. 142

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Sa famille ne compte que des flics, ses amis que des voyous de la mafia russe. Entre les deux, Bobby Green / Joaquim Phoenis se sent pris en étau.
Numéros de page :
3 p. / p. 72-74