Après deux ans de flottements artistiques et d'échecs publics, le lieu culturel parisien tente de redresser la barre avec une nouvelle équipe.

La Ville de Paris a choisi José Manuel Gonçalvès pour diriger l'établissement culturel parisien.

Au Centquatre à Paris, les films et installations de Hans Op de Beeck, par trop lisses et calibrées, laissent de marbre passé l'effet de surprise.

Longtemps attendu, le Centquatre a enfin ouvert ses portes le 11 octobre 2008. Nouvel outil culturel pluridisciplinaire de la Ville de Paris piloté par deux metteurs en scène, il devrait mettre l'accent sur la rencontre du public et de l'artiste au travail

L'ouverture du Centquatre, le 11 octobre 2008, a été saluée par une polémique qui a masqué les enjeux de cette nouvelle institution voulue par Bertrand Delanoë, maire de Paris, et Christophe Girard, son adjoint aux Affaires culturelles. Un projet qui annonce peut-être une nouvelle génération d'établissements culturels. Au risque de porter préjudice aux structures établies ?

Sur fond de crise, de dépenses non maîtrisées et d'une fréquentation décevante, le Centquatre, un an après son lancement, recherche sa nouvelle direction, et un nouveau souffle capable de donner à ce vaste ensemble culturel la place qui lui revient dans la vie artistique parisienne.

Après des débuts difficiles, l'établissement du XIXe arrondissement de Paris se transforme lentement et trouve enfin son public. Son directeur nous raconte pourquoi.

Inauguré au mois d'octobre 2008, le Cent Quatre, un lieu consacré à la création artistique situé dans l'Est parisien, entend mettre les questions de transmission et de pédagogie au centre de ses activités

Conçu vers 1870 dans un quartier populaire de la capitale par un disciple de Baltard, l'usine à deuil renaît en espace artistique