Créée pour Marie-Antoinette, la laiterie d'apparat du château de Rambouillet symbolise admirablement les raffinements du XVIIIe siècle finissant. La restauration des lieux vient de s'achever avec la restitution des bas-reliefs de Pierre Julien.

Honnie de son vivant, Maris-Antoinette est aujourd'hui devenue une icône, comme les aime notre époque. L'exposition du Grand Palais à Paris, scénographiée par le metteur en scène d'opéra Robert Carsen, dessine le portrait d'une femme ni star ni martyre, plus proche de la réalité historique.

Marie-Antoinette aurait aujourd'hui 250 ans. La ville de Bordeaux fête cet anniversaire par l'exposition de quatre-vingt oeuvres provenant de Versailles qui révèlent le rôle de la souveraine dans l'épanouissement du style que l'ont dit "Louis XVI".

Chaque soir, au Palais des Sports, l'Autrichienne sauve sa tête. La belle écervelée ne méritait peut-être pas l'échafaud. Pas non plus la niaiserie des éloges dont on la couvre aujourd'hui.

Il aura suffit du film de Sofia Coppola pour que la reine de France reçoive la palme de la souveraine branchée. Des oeuvres venues du monde entier font le portrait d'une femme plus actuelle qu'on ne le croit.

Pour communiquer avec ses confidents, notamment avec le comte Axel de Fersen, la reine de France, Marie-Antoinette, épouse de Louis XVI, cryptait ses missives. Une nouvelle analyse de sa méthode révèle sa façon de procéder et ses sentiments pour le comte