A Trois on y va
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Auteurs
Nouchi, Franck Auteur du texte
Bulletin : M le magazine du Monde 183 - mars 2015
Dans "A Trois on y va", Jérôme Bonnell met en scène deux personnes qui se trompent l'une l'autre... avec la même femme. Le cinéaste explore avec finesse l'émoi d'être en proie à la confusion des sentiments.
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Auteurs
Narbonne, Christophe Auteur du texte
Bulletin : Première 457 - mars 2015
Dans le film de Jérôme Bonnell, "A trois on y va", Sophie Verbeeck forme l'angle aigu d'un irrésistible triangle amoureux. Un, deux, trois, partez !
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Numéros de page :
1 p. / p. 18
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Bulletin : Positif 650 - avril 2015
Jérôme Bonnell a tourné son premier long métrage, « Le Chignon d'Olga », à l'âge de 23 ans. Une oeuvre confondante de maturité. Quinze ans et cinq films plus tard, dont « Le Temps de l'aventure »- qui nous séduisit beaucoup, il y a deux ans-, ce cinéaste discret confirme qu'il faut compter sur lui. En effet, « A trois on y va », son nouvel opus, donne à voir une comédie chatoyante sur le triangle amoureux, empruntant aussi bien à Lubitsch qu'à Marivaux. Un film gracieux, porté par l'interprétation de Félix Moati, Sophie Verbeeck et surtout d'Anaïs Demoustier.
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Auteurs
Alion, Yves Auteur du texte
Bulletin : <>Avant-scène cinéma 621 - mars 2015
Date parution pério
2015-03-01
Il existait indéniablement des éléments comiques dans "J'attends quelqu'un" " et "Le Temps de l'aventure". Ils n'étaient pas là par hasard, tant Jérôme Bonnell se régale à glisser ici ou là des peaux de bananes sous les pas de ses personnages, ce qui ne limite en rien leur capacité à nous émouvoir. Au contraire. Avec "A trois on y va", il fait un pas supplémentaire en direction du burlesque et montre qu'il possède en la matière un savoir-faire rare, qui n'a pas pour autant vocation à transformer le film en un (brillant) exercice de style.
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Numéros de page :
6 p. / p. 106-111
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Auteurs
Djian, Laurent Auteur du texte
Bulletin : Studio ciné live 67 - mars 2015
Date parution pério
2015-03-01
Elles se connaissent, s'estiment, se sourient. Deux grandes actrices capables de tout jouer et de se fondre dans tous les univers. Notamment celui de Jérôme Bonnell. Emmanuelle irradiait "Le Temps de l'aventure", en 2013, Anaïs éblouit ce mois-ci, dans "A Trois on y va". Que de bonnes raisons pour cette rencontre.
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Numéros de page :
4 p. / p. 52-55
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Auteurs
Logette, Lucien Auteur du texte
Date parution pério
2015-04-01
Il y a un peu plus de cinq ans, à la fin d'une présentation de "La Dame de trèfle", nous avions ainsi conclu : "Quatre titres au compteur en huit ans, quatre bornes qui délimitent un univers cohérent dont la petite musique ne doit qu'à lui-même : Jérôme Bonnell est un des auteurs du jeune cinéma français sur lesquels on peut parier sans trop de risques. En outre, garantie d'une pensée honnête, il n'a pas "la carte" : aucun de ses films n'a été encensé par cette partie de la critique pâmée qui fait les réputations parisiennes.