Parcours d'individus confrontés à l'expérience de l'exil. Recueil de différents témoignages de personnes ayant dû quitter leur pays pour des raisons politiques mais qui n'ont pas nécessairement bénéficié du statut de réfugié politique. Chacune d'entre elles est originaire d'un pays différent. Elles abordent des questions telles que la langue, la famille, le rapport à soi-même, etc.

Suite à la chute du mur de Berlin, l'historiographie a dû remettre en question ses paradigmes, ses méthodes et ses domaines. L'histoire structurale, axée sur la longue durée, a fait place à un retour de l'évènement. Cet essai reconstitue dans un tableau d'ensemble ces débats et en fait l'analyse critique.

Ce document revient sur l'historique des conflits dans la région des Grands Lacs entre 1996 et 2006, évoquant leurs racines, et les circonstances qui menèrent à cette situation politique et militaire.

En 1985, en Equateur, le président Febres Cordero mène une politique de répression inédite contre ses opposants. En Colombie, ces mêmes méthodes sèment la terreur. Plusieurs hommes et femmes, parmi lesquels Hernando, jeune étudiant en journalisme, se regroupent à Quito pour dénoncer cette violence. Celui-ci est cependant enlevé et torturé. Il raconte sa détention.

Pour l'auteur, culture et barbarie n'ont cessé de coexister en Europe et forgent l'identité du continent. Après avoir éclairé l'histoire de la barbarie en Europe, il campe l'histoire de l'émancipation et de la culture. Enfin, il procède à une analyse comparative de ce qu'il considère comme le paroxysme de la barbarie en Europe : le totalitarisme soviétique, le nazisme et le fascisme.

De la fin de la Seconde Guerre mondiale à nos jours, l'auteur explore la généalogie des mouvements terroristes, leurs pratiques et modes opératoires, et leurs filiations tant en termes de savoir-faire que d'héritages idéologiques ou politiques.

En 1990, G. Drolkar, jeune moniale tibétaine de 19 ans, est arrêtée pour avoir manifesté en faveur du dalaï-lama et de la liberté du Tibet. Avec treize autres femmes, elle a été torturée et jetée en prison. En 1993, les prisonnières sortent de leur geôle une cassette avec des chants exaltant la beauté de leur pays natal et leur désir de liberté. Depuis 2004, G. Droken est réfugiée en Belgique.