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Villes "mixtes" en Israël : entre désenchantements et concurrences

Bulletin : Urbanisme 415
Numéros de page :
pp.22-29
En Israël, une ville est considérée comme « mixte » si, selon la définition du Bureau central de la statistique (CBS), au moins 10 % de ses habitants sont enregistrés en tant qu’« Arabes ». Ces localités résultent de la situation prévalant à la suite de la guerre de 1948, d’indépendance pour les Juifs israéliens et de « catastrophe » ("Nakba") pour les Palestiniens. D’où des enjeux conflictuels, d’hier à aujourd’hui.