Recueil de dessins, croquis, esquisses ou pastels qui permettent de saisir le regard du dessinateur de bandes dessinées Baudoin sur la nature, sujet unique de cette collection. Electre 2015

Le personnage principal de cette histoire est un super-héros américain dépucelé. Il se bat avec des personnages de mangas, vit des intrigues en Amérique du Sud ou des prises d'otages en Irak.

Publiées au Japon dans la revue $$Morning$$, les salades de Baudoin ont pour point commun la ville de Nice et font chacune étalage d'une part d'humanité dans un monde qui en manque singulièrement. La plupart des personnages disparaissent à la fin des histoires pour un ailleurs qui tend vers l'au-delà.

Le destin exceptionnel de l'écrivain français, homme de convictions et de passions, est retracé à travers un texte s'appuyant sur le fonds d'archives de la maison de Victor Hugo, à Paris, et de Hauteville house.

Harry et Henry sont deux chiens stupides qui s'amusent à terroriser toutes les petites bêtes à poils fréquentant les alentours du petit cottage anglais où résident ces deux nigauds. Jusqu'au jour où de petits lapins blancs extra-terrestres, armés et sans pitié arrivent en soucoupes volantes pour rechercher un livre de cuisine.

Baudoin a rajouté une quarantaine de planches à l'histoire initiale qui l'emmènent de son chemin de prédilection jusqu'au Québec. ©Electre 2024

Correspondance dessinée de plusieurs années entre les deux artistes. Leurs échanges abordent des questions intimes, de so­ciété, sur la guerre et leur rôle d'artistes dans ce monde.

Une société d'androïdes, autoritaire et ultra-efficace, créée par des humains si lointains. Des robots révolutionnaires, épris de culture et de liberté. Deux enquêteurs qui risquent leur vie, tiraillés entre leur fidélité au système et leurs propres doutes d'androïdes. Un monde au bord de l'implossion.

Les regards croisés des deux dessinateurs sur un festival de jazz, représenté pour l'un avec un style minimaliste et dépouillé, pour l'autre avec exubérance et nombre de détails. ©Electre 2015

À l'aube de ses 80 ans, le dessinateur Edmond Baudoin se lance dans la réalisation de ce livre qu'il porte en lui depuis longtemps. Le titre est sans équivoque : Fleurs de cimetière. Une longue et ambitieuse autobiographie qui se déroule au fil de pages composites, denses, où l'évocation des moments passés se mêle aux commentaires rétrospectifs, aux citations d'écrivains admirés ou aux portraits de l'artiste réalisés par des proches. Edmond raconte son père, sa mère, le temps de l'enfance, passée à dessiner aux côtés de Piero, son frère admiré. Remontant le fil des années, il évoque une existence vorace de liberté, qui n'obéit qu'à une seule boussole, le dessin, la peinture, l'écriture. L'auteur déplie ses contradictions, expose ses relations familiales et tente de disséquer, incertain, son rapport aux femmes. Vaste ouvrage à la narration audacieuse, Fleurs de cimetière semble suivre les courbes de la mémoire et ses mystères. Les époques, les personnages se côtoient au grès de pages-collages foisonnantes. Comme si Edmond souhaitait pouvoir tout réagencer une dernière fois. Car dès les premières pages, l'artiste prévient : j'écris sur quelqu'un qui va mourir inabouti.

Réunit une sélection de dessins publiés dans la revue d'art pour enfants Dada étudiant différents aspects du dessin : mouvement, ombre, lumière, portrait, inscription de l'homme dans le paysage, style, etc., et qui permettent d'apprécier la profondeur de son questionnement d'artiste ainsi que la sensualité de son trait.

Branle-bas au lycée Vitamine ! Une main inconnue placarde un peu partout des messages délirants. Leur auteur signe : "Icare, un dieu"... Qui se cache derrière cette signature ? Serait-ce Jason Rohr, ce garçon étrange et fascinant que Harry et Hortense ont rencontré au théâtre ? On peut se demander s'il s'agit bien d'un jeu...

Un homme marche seul, dans un port. Plus loin, la montagne, but de son voyage, s'approche. L'homme se souvient, par bribes, de sa vie. Il se demande comment trouver sa propre note dans la cacophonie du monde.

Dans cet album, Edmond Baudoin met en forme les souvenirs relatifs à son grand-père, homme qui parlait peu mais qui a fortement marqué son enfance.

Ces trois nouvelles qui mettent en scène le commissaire Adamsberg confronté à des sans-abri permettent de suivre l'évolution du personnage au fil du temps.