4ème de couv. : "Le titre esquive toute ambiguïté. On est dans une enfance et au Maroc, les deux pays qu'Anne Bragance s'est aventurée à revisiter après plus d'une vingtaine de romans aux sujets variés et aux tonalités diverses. L'enfance, c'est celle dont l'ont marquée des éclats de soleil emportés pour toujours, les sentiments parfois contradictoires qu'elle a éprouvés, les douleurs lentes à cicatriser à défaut de pouvoir être effacées. Le Maroc, c'est le pays où pour y être née - à Casablanca - elle a reçu la lumière en héritage et des souvenirs éblouis sur lesquels l'exil contraint vers une France grise et inamicale a projeté une ombre hostile. Plus qu'en terre française, Anne Bragance s'est, dès lors, enracinée dans une écriture française qui lui permettait d'échapper «à l'ennui d'être moi, toujours moi, seulement moi». C'est sans doute pour cela qu'au choix de la stricte autobiographie, elle a préféré laisser affleurer des fragments de son passé, des sensations éparses et ces leçons de vie constitutives de l'être que l'on est devenu.

Une très jolie et tendre histoire d'un enfant de douze ans, Sweetie qui voit sa vie bouleversée par l'arrivée d'un petit péruvien adopté par ses parents.

La vie d'un jeune scénariste va être bouleversée le jour où un réalisateur vient lui proposer un projet cinématographique basé sur une ancienne légende de Saint-Jacques-de-Compostelle. Une enquête sur la ville de Saint-Jacques-de-Compostelle, terrain propice à la survie de sectes sataniques. Ce récit fut adapté au cinéma par Xavier Villaverde. Premio national de narrativa 2003.

Giulietta Padovani, une vieille romancière, décide de vendre ses souvenirs à qui paiera pour l'écouter. L'inquiétude de ses sept enfants augmente à mesure qu'elle dévoile ses secrets...

A cinq ans, par jalousie et par provocation, Virginie a jeté son petit frère dans la poubelle de la cuisine. Sa mère y a vu la marque d'un caractère monstrueux, Virginie, elle, porte au plus profond d'elle-même le poids terrifiant de la culpabilité. Désormais, rien ne pourra rétablir la parole au sein d'une famille où tout n'est plus qu'illusions - pas même l'exhumation tardive du mal, qui conduira à un désastre encore plus grand. Histoire d'un pardon jamais demandé, jamais accordé, Casus belli révèle comment les blessures de l'âme demeurent inguérissables.

Quand ses parents lui annoncent qu'ils vont adopter un petit Péruvien, Edgar croit qu'ils blaguent. Mais Anibal débarque avec sa bouille désarmante, ses crises d'asthme, et peu à peu Edgar craque...

Obsédée par la vision d'un homme qui pleurait appuyé contre un mur en un dimanche d'avril, Esther, née muette, s'emploie à le retrouver pour connaître la raison de ses larmes.

Mettant à jour les ressorts psychologiques susceptibles d'éclairer la trajectoire étonnante de Mata-Hari, l'auteure offre, à l'aide d'une documentation rigoureuse, une approche inédite de la vie de ce personnage mythique qui fascine depuis des générations. Electre 2014