Présente, à travers le réseau de services psychosociaux, un modèle qui gouverne quarante années d'actions sociales au sein de la communauté locale et internationale. Ce modèle culturel fonde ses actions sur les pratiques locales, sur la réalité de terrain et sur les habitudes de vie.

Fruit de l'étude de 4 générations du territoire liègeois de 1935 à 1990, cette analyse détaille la perte de l'identité individuelle par la perte des forces économiques et du travail. L'impact des actions de l'AIGS (Association Interrégionale de Guidance et de Santé) pour renforcer cette identité personnelle et diminuer les troubles psychiatriques est notamment évaluée.

La folie et son pendant, la santé mentale, sont définies dans une perspective historique et sociologique. Puis l'auteur aborde le contrôle social de la folie et propose un nouveau modèle d'encadrement de la maladie mentale qui intègre les différences culturelles et sociales. Electre 2015

A l'identité juridique, sociologique et culturelle du citoyen national devrait s'ajouter l'identité de citoyen du monde qui procède d'une nouvelle représentation de l'espace, du temps et du devenir dans la globalité. L'avenir de l'homme n'est pas seulement une question de climat mais davantage une question d'attitude dans la vie.

Présentation de quelques pays étrangers, de leurs habitants et coutumes : l'Albanie, la région de Sicile, les gens de voyage, le Kurdistan, le Mali.... C'est un outil de travail pour les enseignants, les travailleurs sociaux, les soignants, les éducateurs qui accueillent des personnes issues des nouvelles immigrations du XXIe siècle.

Destiné aux professionnels et aux parents, cet ouvrage permet de distinguer dyspraxie et maladresse pour s'engager dans un système d'aide efficace, et présente un descriptif des troubles de l'enfant dans la vie courante. Un modèle cognitif de la dyspraxie permet de proposer un système d'évaluation ciblé et des pistes de rééducation, à la maison et à l'école. Avec un témoignage et des adresses.

Le travail fait évidemment partie de notre quotidien, dès le plus jeune âge. C’est une valeur culturelle sûre et honte à celui qui n’en a pas ou plus. Selon certains, il assure notre vie quotidienne, nous confère de la dignité et nous rend heureux. Selon d’autres, c’est une obligation, voire un asservissement. La situation des uns n’est pas celle des autres et chaque lecteur se situera là où il le veut. Après 45 ans de travail et quelques années de réflexion, j’ai pu constater que la notion de travail a bien évolué au gré de mouvements sociaux et d’une législation de plus en plus complexe. L’esclavage continue à exister dans certaines contrées et même sous nos latitudes. La notion d’esclave salarié nous contraint à revoir quelques principes de base. Il reste aussi dans toute situation de travail un reliquat de subordination qu’on peut assimiler à la notion d’esclavage moderne, caché derrière un arsenal juridique. Derrière ces considérations se terre une ultime vision de l’être humain, fondamentalement égoïste, individualiste et vaniteux ou bien grégaire et altruiste. A chaque instant, selon les circonstances, l’individu est amené à se situer sur un curseur qui oscille entre ces deux extrêmes.

Depuis le XVIIIe siècle, l’humanisme est une façon de penser de nos sociétés occidentales. Il accorde la primauté à l’être humain. Cela a sorti l’humanité de l’obscurantisme et façonné une nouvelle civilisation, dont nous recevons, encore aujourd’hui, les bénéfices dans tous les domaines : l’art, les sciences, les technologies, l’éducation. En parallèle, il faut reconnaître que ce mouvement nous a conduits dans une impasse dans de nombreux domaines, surtout en matière écologique. L’avenir de la planète est de moins en moins assuré. Nous montrons dans ce livre que cette situation provient d’une multitude de dualismes, qui ont parsemé notre civilisation depuis les origines. L’humanisme en a été un des principaux artisans. Il faut en sortir.

Après le cancer, la démence fait partie des maladies qui inquiètent le plus. c'est un terme inadéquat, qui fait référence à la folie. Il n’en est rien. Il désigne de très nombreuses formes d’atteintes du système nerveux, du cerveau. Les démences ont comme caractéristiques d’être dégénératives et irrémédiables, dans la plupart des cas. Afin d’y faire face, il s’agit de mieux les connaître, d’en comprendre les mécanismes et de s’arrêter sur les aides et traitements. Cet essai n’est certainement pas un traité médical. Chaque personne dans le doute veillera à consulter les spécialistes en la matière. Il est destiné à faire le point sur ces maladies inquiétantes. L’avenir, prometteur de progrès, ouvrira certainement de nouvelles perspectives d’aide et de soins. Nous y abordons un rappel du fonctionnement du cerveau et des fonctions cognitives. Ensuite, les différents types de démences sont répertoriés, avec des indications sur leur fréquence, l'origine des lésions, les symptômes, le diagnostic et des aides ou traitements éventuels. Une partie aborde les aspects et les défis sociaux, liés au vieillissement de la population et aux enjeux adaptatifs pour les soignants et les maisons spécialisées.

rès de 45 années de travail comme Psy, ça use, ça use énormément. Cette rétrospective permet au lecteur de se mettre à la place d’un Psy, d’en estimer les mérites ou de n’avoir aucune envie de faire pareil. Il pourra suivre ses traces et se poser la question : est-ce une VDM ou une V dans la M. J’ai fait beaucoup de choses, diverses en quantité et qualité. J’ai eu beaucoup de satisfaction dans mes engagements individuels à l’égard de personnes troublées par la vie, malmenées, porteuses de déficiences diverses. Je conserve beaucoup d’amertume dans mes contacts avec une multitude d’institutions, de services institués et qui oublient trop souvent quels buts ils ont à poursuivre. J’ai rencontré trop de gens, des gens imbus de leurs petits pouvoirs sur des malades, des exclus, des faibles. Finalement, cette rétrospective est douce et amère, mais je n’ai jamais été un pion docile, un modèle congruent face à la tyrannie institutionnelle. Je ne regrette surtout pas toutes ces personnes affaiblies, dans l’adversité, et que j’ai pu aider.

Louise est une jeune femme à fleur de peau, souffrant d'angoisses qui l'empêchent de vivre pleinement ; sa vie et ses sentiments sont pour elle un véritable handicap. Sera-t-elle assez forte pour les dominer ? ©Electre 2024

Il y a différentes façons de prendre soin de soi. On se soigne par la médecine classique, scientifique. On se soigne, ou on croit se soigner par des médecines alternatives et complémentaires dont l'effet placebo est démontré. Et puis, on peut prendre soin de soi d'une manière préventive en mangeant sainement, en pratiquant des exercices physiques et en évitant différents produits toxiques. La mode se tourne vers des pratiques plus ou moins discrètes, à l'aura plus ou moins magique. Elle est surtout orientée actuellement vers les compléments alimentaires, utiles parfois, mais pas toujours si inoffensifs qu'imaginé. Il y a plus de 400 offres de soins alternatifs et complémentaires, dont certains sont bien connus comme l’homéopathie, l’acupuncture, mais aussi la phytothérapie. Cet acte de mêler médecine et soins alternatifs n’est pas vraiment indemne de tout risque, même s’il faut reconnaître qu’à défaut d’être efficaces, les soins alternatifs sont le plus souvent pas ou peu nocifs. Il s’agit pour le malade de faire œuvre de discernement, de faire confiance à son médecin et de suivre ses prescriptions. Cela ne se fait que si cette confiance est réciproque, et si le médecin collabore avec son malade, notamment en l’informant judicieusement.

Depuis sa conception jusqu'à sa naissance prématurée, les auteurs vont suivre Yanis et tenter de répondre aux questions des parents, de l'entrée en centre de néonatalogie jusqu'à l'adaptation et la réussite scolaire.