Contributions de spécialistes aux options philosophiques et politiques variées sur des questions historiques en débat : le Suaire de Turin, la chute de l'Empire romain, le roi Arthur, les croisades, l'Inquisition, Jeanne d'Arc, les guerres de Vendée, la colonisation, le Parti communiste et la Résistance, le sionisme, l'idée européenne...

Les Universités attendent des étudiants qu'ils maîtrisent leur matière – c'est la moindre des choses. Mais elles exigent aussi une solide culture générale, à l'écrit comme à l'oral. Comment un juriste pourrait-il ignorer tout de la science économique, comment un historien pourrait-il être inculte en droit ? Ce dictionnaire correspond à ce besoin essentiel en rassemblant les notions juridiques et politiques, économiques et sociales, historiques et philosophiques utiles à tous les étudiants de sciences humaines. Il permettra au lecteur de revoir des questions déjà étudiées ou d'aborder de nouveaux concepts qui étofferont sa culture générale à travers des notices claires et synthétiques, compréhensibles par tous. Ces définitions lui donneront ouverture d'esprit et sens critique, puisque beaucoup proposent des analyses novatrices et abordent des domaines de recherche originaux (droit administratif comparé, droit des religions...). Une synthèse indispensable pour réfléchir à l'histoire des mots, réviser ses connaissances sur les doctrines politiques, les institutions administratives, les politiques publiques, les questions sociales, et s'ouvrir aux grands débats de société. Guillaume Bernard, Jean-Pierre Deschodt et Michel Verpeaux ont réuni près de quatre-vingts auteurs (universitaires et praticiens) pour ce dictionnaire destiné aux étudiants et aux candidats aux concours (IEP fonction publique) qui doivent acquérir une culture politique et administrative. - Près de 230 articles - Plus de 300 entrées - Un système de renvois thématiques indispensables pour analyser une question sous tous les angles [LGDJ]

Issues d'un colloque tenu à La Roche-sur-Yon en 2014, ces 23 contributions interrogent le contexte européen à la veille de la Première Guerre mondiale et les réactions dans les différents pays lors de son éclatement. Elles examinent ainsi l'attentat de Sarajevo, l'attitude de Raymond Poincaré, l'opinion publique en Angleterre, les réactions dans la presse grecque, la position des pacifistes, etc.

Au moment où l'Allemagne capitula le 11 novembre 1918, la solidarité des Alliés était déjà compromise. Les privations, les souffrances, les nombreuses pertes humaines, les destructions matérielles avaient épuisé l'Europe. Reconstruire devenait la priorité, ce qui portait au premier plan les solutions politiques, parfois idéologiques. Voulant dépasser l'affrontement fratricide des peuples, le " pacte de la Société des Nations " posa, sous l'influence de Wilson, les principes d'un ordre international nouveau. La paix comme but de guerre ! Cette paix retrouvée à Versailles s'avérait-elle avantageuse ? Devait-elle prôner la simple coexistence entre les nations ? La paix révolutionnaire constituait-elle une solution possible ? Comment célébrer ce moment tant attendu par tous les belligérants ?