Il y a vingt ans, André Cools était abattu à Liège, par des tueurs à gage. La vérité judiciaire a été rendue et les assassins condamnés ainsi que ceux qui leur ont armé le bras, au premier rang desquels Richard Taxquet, proche du ministre Alain Vanderbiest, camarade puis rival politique de Cools, qui s’est suicidé en 2002.
 Les soubresauts de l’enquête, le climat de délation et les minutes des procès ont renvoyé à l’arrière-plan l’action politique et les idéaux socialistes qui ont guidé la vie d’André Cools. Vingt ans plus tard, il était temps de revenir sur l’œuvre de cet homme entier et fidèle, dont le côté «brut de décoffrage» masquait l’intelligence pratique et l’empathie pour ses concitoyens. Aujourd’hui encore, la figure d’André Cools exerce une influence sur la Cité, de Flémalle à l’international en passant par Liège, la Wallonie et la Belgique.
 L’auteur, Louis Maraite, est licencié en journalisme. Il a travaillé pendant quatorze ans à La Libre et à La Gazette de Liège avant de devenir directeur de la Communication du ministre wallon de l’Environnement. Ainsi déniaisé, il se réoriente vers l’analyse politique, en 2004, et intègre le journal La Meuse. En tant qu’éditorialiste politique, il intervient auprès des journaux du groupe Sud-Presse et sur RTL. Depuis 2009, il est le porte-parole francophone de la SNCB-Holding, plus particulièrement en charge des grandes gares. Auteur ou coauteur de livres sur Edgard Scauflaire, Zénobe Gramme, l’association Aviation sans frontières, Michel Daerden et maintenant André Cools, ce Liégeois a l’esprit curieux et l’âme d’un grand sceptique...


Cette histoire en textes et images revient sur l'épisode des anges de Mons qui auraient protégé la retraite de l'armée britannique en 1914 et en propose une interprétation toute personnelle. La narration alterne le récit de l'apparition racontée par le soldat Newman (qui mourra dans la Somme en 1916) et le retour à Mons du lieutenant Watkins en novembre 1918.

Pour découvrir la Ducasse annuelle de Mons, divisée en quatre rituels : la descente de la châsse de sainte Waudru, la procession, la montée du Car d'or et le combat. Chercheurs et organisateurs dressent un panorama de cette fête rituelle, détaillant ses différents usages, ses origines et son évolution depuis le Moyen Age.

A travers une série de témoignages, l'ouvrage retrace les combats historiques et évènements phares qui reflètent l'histoire du Parti socialiste en Belgique et qui ont marqué la vie de citoyens : le droit de vote pour tous, les premiers congés annuels, les soins dentaires gratuits pour les moins de 18 ans, etc.

A. Taets, âgé de vingt ans en 1940, a d'abord cherché à rejoindre Londres puis, entré dans la Résistance, il a été arrêté, interné à Saint-Gilles, envoyé en camp de travail et enfin, à Dachau. Peu de personnes ont eu la chance de survivre à un parcours aussi complet dans l'horreur, qui a duré quarante-deux mois. Un témoignage à garder présent à l'esprit.

Ce regard photographique sur Mons capte des lieux et des moments, immortalisant les habitants de la ville dans leur quotidien.

Entré en juin 1940 au parti socialiste clandestin, Arthur Haulot est arrêté par la Gestapo en décembre 1941. Il passe six mois à la prison de Saint-Gilles où il écrit les premiers poèmes de ce recueil. Les derniers poèmes sont écrits après la guerre et témoignent du souvenir de sa captivité et de sa volonté de transmettre aux jeunes générations ses convictions et ses espoirs.

Cette biographie fait le récit du parcours politique de ce fils d'immigrés italiens, devenu militant du parti socialiste belge puis élu local, échevin, député, bourgmestre et enfin ministre président de la région wallonne et dirigeant du PS