Caroline, 22 ans, future professeure, se raconte : à 14 ans, elle préfère David Copperfield aux héros édulcorés, la passion des mots s'empare d'elle. Quelques années plus tard, alors qu'elle était considérée comme médiocre, elle entame des études universitaires littéraires. Electre 2014

Une femme fait la manche sur le trottoir. Elle provoque un malaise chez les passants qui l'entourent. Ils commentent, critiquent ou bien compatissent, révélant ainsi leur angoisse de vivre dans un équilibre instable. ©Electre 2017

A l'heure ou "le temps, c'est de l'argent", où le capitalisme est roi, où nous baignons dans le bruit et la productivité... des pouvoirs publics étonnamment inspirés imaginent de créer un espace de quiétude et de silence. Les habitants de la ville pourront y venir pour rêver, s'évader, s'ennuyer... C'est dans ce lieu singulier que se rencontrent Albert, Fernand et Lucien, trois hommes aux vies, aux convictions et aux loisirs totalement différents. Jusqu'où peut-on vivre seul ? Selon quelles affinités peut-on créer une communauté ? L'autre n'est-il pas tout à la fois celui que nous désirons ardemment comme ami et celui que pourrait bien rapidement devenir notre ennemi ? "Les fines bouches" se déguste comme un manuel de savoir-vivre... ou un traité d'anti-racisme. (Quatrième de couv.)

A l'heure ou "le temps, c'est de l'argent", où le capitalisme est roi, où nous baignons dans le bruit et la productivité... des pouvoirs publics étonnamment inspirés imaginent de créer un espace de quiétude et de silence. Les habitants de la ville pourront y venir pour rêver, s'évader, s'ennuyer... C'est dans ce lieu singulier que se rencontrent Albert, Fernand et Lucien, trois hommes aux vies, aux convictions et aux loisirs totalement différents. Jusqu'où peut-on vivre seul ? Selon quelles affinités peut-on créer une communauté ? L'autre n'est-il pas tout à la fois celui que nous désirons ardemment comme ami et celui que pourrait bien rapidement devenir notre ennemi ? "Les fines bouches" se déguste comme un manuel de savoir-vivre... ou un traité d'anti-racisme. (Quatrième de couv.)

La nuit, dans une ruelle étroite et mal éclairée, quelques dames aux apparences de petite vertu déambulent, protégées par un grand parapluie et attendent le chaland. A ceux qui acceptent ce face-à-face étrange, elles choisiront peut-être de raconter une bulle de vie, tantôt drôle, tantôt émouvante. Recueil de courtes histoires.

La vie professionnelle de Patricia est au beau fixe depuis seize ans : un travail qu'elle aime, un patron qu'elle vénère. Tout bascule lorsque son patron engage Marylène. Patricia se sent alors rejetée, mise à l'écart et commence à vivre une descente aux enfers. Une pièce de théâtre sur le harcèlement moral au travail.

Elle rêvait de faire du cinéma. Elle se retrouve devant une classe, comme son père, comme des milliers d'enseignants qui se demandent quel sens a leur métier. Quel sens a leur vie, leur passion... Rien n'a vraiment changé entre Monsieur-le-Professeur qui se levait tous les matins en répétant qu'il avait une barre dans la poitrine, et Marie-la-Prof, sa fille, qui a pris la relève... sinon que Marie ne croit plus aux dieux ; elle ne croit plus qu'au pouvoir des mots, à la parole, à la puissance du rêve. Ainsi, au coude à coude avec ses élèves maudits de la Terminale B, elle tente de se prouver qu'Antigone l'immortelle peut encore souffler sur les braises de l'espoir (notice de la quatrième de couv.)

Un professeur de littérature pose toujours la même question à ses nouveaux élèves en guise de préambule à son cours : "Qu'est-ce que ça veut dire, être prof de littérature ?". Un jour il se la pose à lui-même... et n'a pas de réponse. Cette pièce met en cause l'enseignement certes, mais aussi la philosphie de la vie.// Les élèves sont comme des animaux : ils agissent non par intelligence, mais par instinct. C'est ce que pense l'enseigneur. Plus qu'un règlement de compte avec l'école et le théâtre. (Livres hebdo : livres du mois, 9, 2001)