Des chroniques qui relatent les truculentes péripéties du narrateur à Belgrade au début des années 1950. Bon vivant neurasthénique, il est nommé attaché de presse à l'ambassade britannique. La Yougoslavie d'alors tremble de peur sous la botte de Tito. Les gaffes s'accumulent lors des soirées de l'ambassadeur, l'accueil des délégations étrangères tourne au ridicule.

Quiconque a lu trois lignes de Durell ou de Lacarrière sait qu'ils sont de ces écrivains dont la parole aiguise notre écoute du monde, attise notre désir d'être. Ici, Filigrane, ils se prêtent au jeu, difficile, de l'entretien...

Comme Joanna Passero, de l'Inspection générale de la police, l'inspecteur Banks refuse de croire que l'inspecteur Bill Quinn, tué d'une flèche dans un centre de rééducation, était corrompu. Les recherches de Banks le conduisent sur la piste d'une jeune Anglaise disparue six ans plus tôt en Estonie. Electre 2015

Troisième volet des péripéties de la vie du corps diplomatique britannique de l'autre côté du rideau de fer dans les années 50.

Cet ouvrage, publié pour la première fois en 1923, est constitué d'une série de lettre fictives adressées à une amie, lettres pleines d'esprit, de poésie et de malice où l'auteur développe sa propre thématique du ça, fort différente de celle de Freud. ©Electre 2018

Ce roman autobiographique, inédit en France, paru en 1935, est inspiré par l'enfance de l'écrivain partiellement passée en Angleterre pour les besoins de son éducation.

Quatre romans, trois narrateurs pour une seule et même histoire qui superpose les points du vue et entraîne ses héros dans les méandres de la ville d'Alexandrie.

4ème de couv. : "Sommes-nous vraiment au monde ? La vraie vie n'est-elle pas ailleurs ? Dix-sept siècles avant Rimbaud, les gnostiques ont posé ces questions radicales, sur les rivages et dans les ruelles d'Alexandrie, face aux idoles d'un monde en perdition, face aux excès d'un christianisme triomphant. Questions toujours actuelles : l'injustice, l'intolérance, l'arbitraire et la souffrance continuent d'habiter ce monde. Alors où est l'issue ? Peut-on aujourd'hui encore suivre la voie gnostique pour échapper au Mal ? À travers cet essai personnel et original, Jacques Lacarrière, l'auteur de L'Été grec, fait mieux et plus qu'une étude des gnostiques : il les rencontre, les ressuscite. Et ils deviennent, au cours des pages, non plus les habitants d'un monde disparu mais les compagnons précurseurs de nos doutes et de nos refus. Des complices même, dont la parole vivante nous parvient, étonnamment neuve. "

Au milieu des années 30, dans le cadre somptueux d'Alexandrie, l'élite anglo-égyptienne qui règne sur le delta du Nil vit ses derniers beaux jours avec autant de raffinement que de sensualité. Ce microcosme a pour centre une étoile de première grandeur, Justine

4ème de couv. : "APRÈS TANT D'ANNÉES, il était important de présenter enfin l'intégralité de la correspondance échangée entre Henry Miller et Lawrence Durrell, amis pendant près d'un demi-siècle. Une première partie, couvrant les années 1935 à 1959, avait fait l'objet d'une publication partielle aux Éditions Buchet/Chastel en 1963. Elle se voit aujourd'hui augmentée par les lettres écrites entre 1959 et 1980, inédites en français, et enrichie de passages qui avaient été supprimés lors de la première édition. La publication de cette correspondance passionnante et vivante, qui ne s'achève qu'avec la mort de Miller en 1980 et nous touche autant sur le plan humain qu'artistique, est donc un véritable « événement littéraire », qui permettra aux lecteurs français d'aller beaucoup plus loin dans la découverte de ces deux grands hommes de lettres. "