" Mathieu Solignac était mon grand-oncle. Sa stature de géant, sa prestance, ses allures de grand seigneur, son âge, ses titres et son passé de grand résistant en faisaient le chef naturel de notre famille. Je n'y pouvais rien mais l'oncle Mathieu, je ne le supportais pas. Son histoire et ses titres de gloire n'y changeaient rien. Lui, de son côté, se fichait complètement de moi. " Ce n'est qu'à la découverte de son journal de guerre que Valentin commence à s'intéresser sérieusement à ce grand-oncle peu sympathique. Et celui-ci lui apparaît soudain beaucoup plus ambigu...