Le Québec, au XIXe siècle, c'est le royaume des colons, du froid, des bêtes sauvages et du pain durement gagné. Georgina a 12 ans lorsqu'elle arrive au bord du lac Saint-Jean avec sa famille. L'auteur consigne ses chagrins, ses espoirs et ses joies jusqu'à son mariage. A travers un style d'une grande sensibilité, elle nous fait pénétrer dans l'intimité de rudes gens. Une belle leçon de vie. (Lire par Laurence Liban)

Le raton-laveur et ses amis. Pour les 2-4 ans.

Le raton-laveur et ses amis. Pour les 2-4 ans.

Le raton-laveur et se amis. Pour les 2-4 ans.

Remettre à l'ordre du jour des sujets traditionnellement boudés par la philosophie occidentale : voilà le mandat que se donne cet essai écrit à quatre mains par des philosophes féministes. Elles y dévoilent les dynamiques de domination à l'œuvre dans les concepts classiques tels que la raison, la justice ou l'autonomie, et remettent en question le prétendu sujet universel. Plusieurs théoriciennes sont ici présentées, notamment Simone de Beauvoir, Judith Butler, Elsa Dorlin, Kristie Dotson, Camille Froidevaux-Metterie, Emilie Hache, Patricia Hill Collins, Monique Wittig et Iris Marion Young. ©Electre 2024

Une terrible croyance étouffe le coeur des hommes d'une tribu indienne : personne ne doit s'aventurer la nuit car le Grand-Huart, l'oiseau qui vit sur le lac, y règne en maître. Michigan décide de briser le tabou pour offrir aux siens les beautés secrètes du monde de la nuit. (Livres-Hebdo).

Elvira a passé 146 ans dans le cimetière du petit village de Mandigo Corners. Engagée au dépanneur du village, qui porte désormais le nom de Saint-Sébastien, elle s'adapte bien à l'époque moderne.

Des contes traditionnels ayant comme point commun des bandits, des filous ou autres arnaqueurs.

Dans la tradition populaire québécoise, on ne trouve pas que des contes de diablerie ou de revenants. Une foule de contes font appel à la débrouillardise et à l'ingéniosité d'un héros. Mais, disons-le, ces histoires sont assez éloignées de la morale. En effet, ce sont des voleurs, des joueurs de tours qui suscitent notre admiration et s'en tirent presque toujours à la fin, justement grâce à leur ruse. Est-ce la raison pour laquelle ces histoires sont moins connues que celles des loups-garous et des diables où la bonne conduite et le repentir permettent aux héros d'être sauvés ? En tout cas, ces contes de ruse et de malice rétablissent un aspect un peu négligé de la vie rurale du Québec du XIXe et du début du XXe siècle où les habitants n'étaient peut-être pas aussi préoccupés qu'on l'a dit de leurs pratiques religieuses et de leur salut éternel. (Quatrième de couverture)