Tom et son père crapahutent dans les gorges et suivent le cours du ruisseau, accompagnés de leur chien Lézieu. Pas facile de se jeter à l'eau! En rentrant, ils trouvent la maison vide et un mot de maman leur annonçant son départ pour la maternité. ls la rejoignent et Tom découvre "du bout des doigts" sa petite soeur... Un grand coup de coeur pour ce roman plein de poésie, de douceur et de sensations. A aucun moment, le mot "aveugle" n'apparaît dans le roman, et c'est seulement en lisant attentivement le texte que l'on comprend le titre de l'ouvrage. Tom décrit à la première personne du singulier le monde qui l'entoure, ses sensations et perceptions, ses pensées, la découverte de sa petite soeur, avec beaucoup de tendresse et de fraîcheur. Le texte est magnifique, et se lit comme une poésie, pleine de rythmes et d'images. Les chapitres, courts, facilitent la lecture. Un livre d'une grande qualité, à partager en famille, qui éveille et qui émerveille...

Deux enfants se bagarrent après l'école. Plus rien ne compte, ni le temps, ni les gens qui passent. Quand la nuit tombe, ils sont trop heureux d'être deux, et se raccompagnent.

Une petite citadine se prend de compassion pour un SDF qu'elle a surnommé Tolstoï et qui dort en bas de chez elle. Son père accepte de l'héberger dans leur maison de campagne. Tolstoï s'installe dans la remise, qu'au fil des mois, il arrange comme une vraie maison. Il retape même un vieux four à pain et s'improvise bientôt le boulanger du village...

La lune est belle en cette nuit d'automne, les rues du village sont vides, la maison est endormie ; il suffirait d'ouvrir la fenêtre, de s'offrir une balade nocturne et solitaire quand le sommeil ne vient pas...

Un peu inclassable sur la violence, mais également sur les peurs d'enfant. Le peintre, plus encore que l'illustrateur, tente de saisir, par des cadrages très différents (gros plan, vue de haut, etc...) la lutte entre deux garçons, qui à la sortie de l'école, se battent dans la rue. Tout occupés à se donner des coups, ils n'entendent même plus le grondement des passants. Peu à peu la bataille s'éternise. Les garçons se déplacent, s'enfoncent dans des ruelles sombres. Jusqu'à la tombée de la nuit, oubliant tout, excepté le fait de donner des coups. Mais lorsqu'arrive la nuit, ils sont seuls, isolés, loin de tout. Et la peur des ombres réapparaît. Trop heureux d'être deux, ils se raccompagnent alors dans leur foyer respectif. ... (www.ricochet-jeunes.org)

Dans un cimetière, un enfant observe son grand-père creuser la tombe de son père lorsqu'apparaît Jasmine, une petite fille qui connaît bien les lieux. Ensemble, ils se promènent parmi les tombes, s'amusent des noms qui y sont gravés et partagent leurs réflexions sur la vie et la mort. ©Electre 2020

Tom et son père crapahutent dans les gorges et suivent le cours du ruisseau, accompagnés de leur chien Lézieu. Pas facile de se jeter à l'eau! En rentrant, ils trouvent la maison vide et un mot de maman leur annonçant son départ pour la maternité. ls la rejoignent et Tom découvre "du bout des doigts" sa petite soeur... Un grand coup de coeur pour ce roman plein de poésie, de douceur et de sensations. A aucun moment, le mot "aveugle" n'apparaît dans le roman, et c'est seulement en lisant attentivement le texte que l'on comprend le titre de l'ouvrage. Tom décrit à la première personne du singulier le monde qui l'entoure, ses sensations et perceptions, ses pensées, la découverte de sa petite soeur, avec beaucoup de tendresse et de fraîcheur. Le texte est magnifique, et se lit comme une poésie, pleine de rythmes et d'images. Les chapitres, courts, facilitent la lecture. Un livre d'une grande qualité, à partager en famille, qui éveille et qui émerveille...