En imaginant ce que ferait le Front national s'il était au pouvoir et s'il appliquait son programme électoral à la lettre, le cofondateur de l'Union des démocrates et indépendants montre les dangers auxquels la France serait exposée.

La vie de De Gaulle de son enfance au président en passant par l'appel du 18 juin, ses positions en politique intérieure et extérieure.

Venise, 22 novembre 1807. Napoléon, entre dans la Cité des Doges sous les acclamations du peuple. Mais le souverain semble étrangement soucieux. Pourtant, la gloire du nouveau Roi d'Italie n'a jamais été aussi grande : en installant les siens sur les différents trônes, il concentre le pouvoir entre ses mains et devient le seul décideur du destin de l'Europe. Mais l'ennemi s'organise. L'empereur sait qu'il n'a que deux solutions pour asseoir définitivement sa puissance : vaincre par sa suprématie militaire? et conforter sa légitimité éternelle avec un héritier. Justement, sa maîtresse vient de lui donner un fils. Joséphine est maitenant le dernier obstacle entre l'Empire Eternel et lui. A Venise comme à Paris, ses fidèles lieutenants Murat et Fouché s'interrogent : pourquoi avoir maintenu sa visite à Venise, quand la découverte de plusieurs cadavres et la rumeur d'un possible attentat font planer un danger sur sa vie ? Et qui est cette jeune femme qui se dissimuler dans l'ombre de l'Aigle ? Mais en cette année décisive, qui peut deviner les réelles intentions du petit caporal ?

En 1661, Mazarin, tout-puissant Premier ministre, n'a que quelques semaines à vivre. Nouveaux venus à Paris, Gabriel de Pontbriand et Louise de La Vallière se trouvent plongés au coeur des affrontements pour le pouvoir. Détenteurs d'un secret, les deux jeunes gens vont au péril de leur vie dénouer les fils du complot capable de faire basculer le destin de la France.

Entre le 20 décembre et le 1er janvier 1814, des troupes étrangères venues de Russie, de la Prusse, de la Suède, de l'Autriche, du Royaume-Uni, etc., envahissent la France. Leur objectif est de marcher sur Paris, et d'en finir avec Napoléon. Après avoir tenté de résister en infligeant quelques revers à l'ennemi, Paris capitule et Napoléon abdique le 6 avril 1814.