L'humanité est censée avoir franchi une étape : elle est désormais adulte et n'a en conséquence plus besoin, ni de Dieu, ni de maître ; les hommes sont des hommes de savoir, non des croyants. Mais l'auteur s'interroge alors sur le sens d'une vie qui débouche sur le néant, ce qu'il advient des atomes d'un corps après sa mort.

Dans un monde cynique, la gentillesse n'a plus sa place. Ce constat permet de resituer la gentillesse dans son contexte, de la distinguer de la mièvrerie ou de la naïveté et de présenter, derrière son apparente simplicité, une vertu efficace et stratégique. Une version courte de Eloge de la gentillesse du même auteur.