L'enfance, l'adolescence et les premiers émois d'Agojaraq, entouré de sa nourrice et de ses cinq pères possibles, dans le Grand Nord Canadien. Il y a Louis, le cuisinier français ; le père Brian, escroc devant l'éternel ; Ivitaq le vieux chaman un peu dépassé par l'évolution des mentalités.

Dans ce deuxième volume de la trilogie "La maison de mes pères", nous retrouvons le jeune Agojaraq, métis eskimo, entouré de ses cinq frères possibles et de sa vieille nourrice Aviaja. Dans ce Grand Nord canadien, empreint de culture eskimo, passent des antihéros magnifiques : Louis le cuisinier français en quête de saveurs nouvelles, le Père Brian, grand escroc devant l'Eternel, ou encore Ivitaq, le vieux chaman un peu déconcerté par l'évolution des mentalités. Toute la tendresse du monde, tout l'humour de Jorn Riel.

Avec le cycle Le chant pour celui qui désire vivre, Jłrn Riel brosse une fabuleuse fresque ethnologique du peuplement inuit : nous ne voyons pas seulement les personnages, nous vivons au milieu d'eux. Dans le premier volume, le chaman Heq mène son peuple sur la terre promise et fonde Thulé en l'an mil. Cinq cents ans plus tard, son descendant Arluk entreprend de faire le tour des merveilleux mondes - le Groenland, son seul univers. Puis Soré, notre contemporaine, connaît une phase de désarroi due à la colonisation, avant de retrouver un fantastique espoir en l'Inuité. Les trois volumes se lisent indépendamment. Arluk nous fait renouer avec le peuple inuit, son histoire et ses légendes, et propose à tous les grands amateurs de romans de le découvrir derrière la plume de Riel. Arluk est investi d'une mission : " traverser tous les pays merveilleux de la terre ", le Groenland. La légende du peuple inuit se poursuit en Arluk parti à la rencontre des mythes et des colons nordiques installés sur la côte ouest du Groenland.

Personne ne venant les rechercher, une vieille Eskimo et un petit garçon reviennent par leurs propres moyens d'une île où ils faisaient sécher la viande. Au village, tout le monde est mort. Ignorant le monde du dehors, la femme sait que quand sa mort viendra, le petit garçon va se retrouver seul au monde. (Livres Hebdo)

Pani est une petite fille eskimo qui a le don extraordinaire de parler aux animaux. Mais ce don ne lui permet pas seulement d'être l'amie d'un ours polaire, il lui commande aussi d'aider son village à triompher de la famine...

Copenhague. Jon Campelli hérite de la librairie de son père Luca, qui vient de mourir. Après les funérailles, son employé, le vieux Iversen, révèle à Jon le secret de Luca : ce dernier était à la tête d'une société de bibliophiles composée de personnes dotées d'un pouvoir leur permettant d'influencer la lecture des autres. Sa mort a peut-être un rapport avec le cercle.