Etude sur les transgressions des élites sociales dans le cadre de leurs fonctions : la délinquance économique et financière, et la corruption politique. Cet ouvrage présente les principaux enjeux théoriques et les débats qui entourent ces activités, explore les raisons du passage à l'acte et analyse les réactions sociales, notamment celles de la presse et de la justice. ©Electre 2018

Une analyse de la fusion paradoxale des ministères de l'Ecologie et de l'Equipement à trois niveaux : la réforme des structures centrales du ministère, les services territoriaux (essentiellement régionaux) et les principaux acteurs ayant concrétisé cette vaste série de changements.

Les citoyens français continuent d'accorder leur confiance à des acteurs politiques suspects ou condamnés (financement de la vie politique, conflits d'intérêt, cumul de mandats, etc.). Cet essai met l'accent sur deux phénomènes : les citoyens qui considèrent l'activité politique comme poreuse aux abus de pouvoir, et les excuses qui tentent de justifier ces déviances dans l'exercice du pouvoir.

Confrontés aux questions environnementales, les pays industrialisés ont dû repenser l'action publique pour tenter d'y répondre : que faire, en effet, au niveau national quand la plupart des enjeux écologiques sont autant régionaux que planétaires ? Comment prendre des décisions valides dans un contexte de forte incertitude, quand les informations manquent et que les expertises sont souvent partielles, voire contradictoires ? Comment intégrer à l'action publique des acteurs de la société civile (acteurs économiques, des ONG et de plus en plus des citoyens) fortement mobilisés sur ces sujets, mais aux intérêts divergents ? En analysant les politiques publiques de l'environnement menées aujourd'hui, cet ouvrage montre qu'elles transforment peu à peu la manière d'agir en politique. Il pointe aussi les faiblesses de ces nouvelles régulations, depuis leur conception et jusqu'à leur application, au regard des enjeux écologiques si pressants de notre époque. [LGDJ]

S'interrogeant sur le caractère répétitif de la transgression des règles par les élites politiques, l'auteur montre qu'il s'explique par des facteurs structuraux : l'autorégulation morale dont usent les dirigeants pour ce qui les concerne d'une part, et la faiblesse des sanctions institutionnelles et judiciaires d'autre part. ©Electre 2022

Confrontés aux questions environnementales, les pays industrialisés ont dû repenser l'action publique pour tenter d'y répondre : que faire au niveau national quand la plupart des enjeux écologiques sont autant régionaux que planétaires ? Comment prendre des décisions valides dans un contexte de forte incertitude, quand les informations manquent et que les expertises sont souvent partielles, voire contradictoires ? Comment intégrer à l'action publique des acteurs de la société civile (des acteurs économiques, des ONG et de plus en plus des citoyens) fortement mobilisés sur ces sujets, mais aux intérêts divergents ?   En analysant les politiques publiques de l'environnement menées aujourd'hui, Pierre Lascoumes montre qu'elles transforment peu à peu la manière d'agir en politique. Il pointe aussi les faiblesses de ces nouvelles régulations, depuis leur conception et jusqu'à leur application, au regard des enjeux écologiques si pressants de notre époque.

Les pouvoirs publics incapables d'endiguer les activités illégales ont décidé de bloquer leurs flux financiers et pour se faire de travailler en collaboration avec les banques. Ce système international remet en cause les principes de secret des banques et élabore des stratégies de policing financier.