Sir Simon Rattle dirige la Sixième Symphonie de Bruckner, la plus originale des oeuvres symphoniques du compositeur. Ses ambiances contrastées et son thème dominant qui passe de l'obscurité à la lumière, culminent dans l'une des conclusions symphoniques les plus énigmatiques du XIXe siècle.

Le récit le plus populaire de la mythologie classique raconté par un acteur étonnant et illustré par la musique classique grâce au talent du réalisateur Jean Michel Coblence, pour le label Didier Jeunesse. L'acteur Laurent Natrella, sociétaire de la Comédie Française pendant dix années, est le narrateur génial et inspiré de cette fable aux accents romantiques dont les drames sous tendus ne lui ont pas échappés. La musique qui illustre l'histoire évoque parfaitement l'intrigue, avec des extraits fascinants des Symphonies de Mahler ou des poèmes symphoniques, Ainsi parlait Zahratoustra et Une Vie de Héros, de Richard Strauss : en clair, une vraie bande son de film !

Huit années seulement séparent le Concerto pour violon (écrit en 1910) de la Sonate pour violon (écrite en 1918). Si le Concerto pour violon d'Elgar est l'un des plus longs du répertoire, c'est aussi l'un des plus nobles et empreint d'une grande poésie pleine de tendresse. Renaud Capuçon et Sir Simon Rattle, à la tête du London Symphony Orchestra, se retrouvent pour la première fois pour un enregistrement du concerto pour violon, créé en 1910 par Fritz Kreisler. La seconde partie du disque est consacrée à la mélancolique Sonate pour violon. Cette fois, Renaud Capuçon est accompagné par le merveilleux pianiste anglais Stephen Hough. Le prince du violon Fritz Kreisler disait d'Elgar, "je le place sur un pied d'égalité avec mes idoles Beethoven et Brahms".