Aller au contenu principal

Filtrer

Nous avons trouvé 2 résultat(s) pour votre recherche "Aucun mot clef"

couverture du document
1 / 1 exemplaire(s) disponible(s)
Filtrer par bibliothèque
Afficher/Cacher les documents non disponible
Bibliotheque Localisation Cote Etat Retrait de la réservation
Chirx 1 exemplaire(s) disponible(s)
B3 Centre de ressources Civilisations et sociétés - étage 2 17 MAILLARD Disponible
Auteurs :
Année de parution :
2011
Depuis la modernité, l’autonomie a joué un rôle central dans notre manière de concevoir l’être humain. Son respect a figuré au centre des conceptions morales dominantes – kantienne et libérale. La notion de vulnérabilité occupe depuis quelques décennies une place de plus en plus franche dans la réflexion éthique. Elle apparaît comme un instrument critique visant à interroger une anthropologie articulée autour des capacités rationnelles de l’homme et à contester la focalisation des théories morales sur la figure du sujet autonome. Chez Levinas, en bioéthique, dans les éthiques du "care" ou encore les réflexions chez Nussbaum à propos de la théorie rawlsienne de la justice, la prise en considération de la vulnérabilité complète et complique l’image de l’individu autonome en le replaçant dans ses modalités temporelles, relationnelles et corporelles – soulignant à la fois sa dépendance et la fragilité essentielle de ses capacités. La vulnérabilité offre ainsi une perspective morale fondée sur cette conception à la fois plus complexe, plus riche et plus réaliste de ce qu’est la personne, en pensant à côté du respect de l’autonomie et ensemble avec lui, la sollicitude ou la responsabilité.
Editeur :
Collection :
Le |Champ éthique
Importance matérielle :
1 vol. (386 p.) : 23 cm
9782830914238
Veuillez vous connecter pour réserver
couverture du document
1 / 1 exemplaire(s) disponible(s)
Filtrer par bibliothèque
Afficher/Cacher les documents non disponible
Bibliotheque Localisation Cote Etat Retrait de la réservation
Chirx 1 exemplaire(s) disponible(s)
B3 Centre de ressources Civilisations et sociétés 17 MAILLARD Disponible
Auteurs :
Année de parution :
2014
La morale n’a-t-elle pour tâche que de limiter les effets négatifs de nos comportements sur les autres ? En d’autres termes tout ce que nous faisons sans affecter la collectivité est-il éthiquement permis ? Le suicide, la prostitution librement consentie, le don d’organes ? Plusieurs éthiciens contemporains, emmenés notamment par le philosophe français Ruwen Ogien considèrent qu’il faut être minimaliste en éthique. Ce n’est pas l’avis de la Lausannoise Nathalie Maillard qui revient dans cet essai sur les arguments censés étayer un minimalisme moral inspiré par le courant du libéralisme politique. L’auteur revient sur la séparation entre le moral et le politique ainsi que sur la confusion qui entoure la notion de liberté. À travers les idées de respect de soi et d’intégrité personnelle, elle propose également de reconsidérer la question du rapport moral à soi-même. Cet ouvrage veut dépasser les réactions épidermiques d’adhésion (les amoureux de la liberté) ou de rejet (les conservateurs de tout poil) que suscite l’éthique minimale en proposant un examen approfondi des questions normatives qu’elle soulève. […] Docteur ès lettres de l’Université de Lausanne, Nathalie Maillard enseigne la philosophie et l’éthique à Genève. Elle a publié, chez Labor et Fides, La vulnérabilité. Une nouvelle catégorie morale ? (2011)
Collection :
Le |Champ éthique
Importance matérielle :
1 vol. (308 p.) : couv. ill. : 23 cm
9782830915358
Veuillez vous connecter pour réserver