Mon frère Jacques ne pense qu'aux filles, ma grand-mère s'amuse dans les grands magasins et moi, je viens de me faire renvoyer de l'école. Alors le pater a décidé qu'il fallait prendre des vacances.

Augustin, enfant mutique et solitaire de 13 ans, vient de perdre sa grand-mère Geneviève. La mort de la vieille dame, la seule personne de la famille que le garçon aimait sans réserve, est officiellement due à une chute accidentelle. Mais on découvre bientôt que le père, Maurice, était criblé de dettes, et que Geneviève s'opposait farouchement à la vente de la bastide et des vignes.

Certains ont un chat ou un chien ou un cobaye. Ou le tout. Le narrateur de ce très bref roman a un canard, Armand. Qui parle ! Enfin, avec son maître. On a découvert le sympathique volatile dans un premier volume, "Armand chez les Passimpas". Il n'est pas inutile de le lire - c'est si court - pour bien situer les personnages du second tome. Les deux ouvrages bénéficient des mêmes qualités : écriture rapide, style incisif, sujet bien enlevés. Le premier raconte comment le bel Armand a échappé au couteau d'un cuisinier sanguinaire, malfrat recherché par la police par ailleurs. Le second mélange aussi suspense et humour : cette fois le palmipède a été enlevé par un garnement de l'école. Méchant mais pas très malin. Heureusement pour Armand ! Ces mini-livres séduiront les enfants lecteurs et ceux qui sont en passe de le devenir. Dès 8 ans (MAD Lucie Cauwe)

Jeanne et Fabrice ont 18 ans. Elle, jeune comédienne, incarne toutes les difficultés de son métier mais s'accroche, obstinée et rageuse. Lui, fils de millionnaire, n'a jamais travaillé et promène son ennui mondain, il déteste son père qui lui renvoie l'image de sa propre inutilité. Le destin de ces deux êtres va finir par se croiser mais pas de la manière dont on pourrait le penser.

Julien, orphelin élevé par son grand-père et écrivain raté, ne supporte plus sa vie de frustration. Il décide d'agir, et tue à coups de couteau son grand-père, Donatella, sa petite amie, puis d'autres personnes...

Dans un pensionnat ultra-chic, Benjamin a de gros problèmes. Il est tombé amoureux de la fille du directeur alias Peau de vache. Ce proviseur est très sévère voire malsain. Il tient sa fille sous sa coupe. Ces deux adolescents décident donc de s'enfuir mais ce n'est pas si simple. Peau de vache surveille...

Un petit garçon dont les résultats scolaires sont médiocres est menacé par ses parents d'être séparé de son canard, Armand. Qui viendra les secourir ? Un conte de Noël. (Livres-Hebdo)

Le commissaire Magret était invité chez nous pour déjeuner. Avec ça, papa était sûr d'obtenir une promotion. Mais tu parles ! C'était compter sans Armand... (Quatrième de couverture)

Edouard est pensionnaire, il joue volontiers les gros durs et s'enferre dans un conflit avec Maxence, l'un de ses camarades. Un soir son père fait brutalement irruption dans la pension, accompagné d'un certain "tonton Emile" : les deux hommes viennent de commettre un hold-up et ils embarquent Edouard et Maxence dans leur cavale. Le suspense est bien maintenu tout au long de la poursuite policière et de l'assaut final, mais le dénouement est décevant et maladroit, car la plupart des questions sur les motivations des personnages, entretenues au cours du récit, restent non résolues. (Revue des livres pour enfants)

En défendant son grand frère attrapé par une bande de "Dealers", le narrateur croit avoir tué. S'en suit une cavalcade désespérée. (Brunette.brucity.be)

Un petit garçon dont les résultats scolaires sont médiocres est menacé par ses parents d'être séparé de son canard, Armand. Il fugue en sa compagnie. Voilà qu'un homme armé d'un couteau et habillé d'un tablier taché de sang se lance à leur poursuite ! Qui viendra les secourir ? Un conte de Noël.

Armand a été kidnappé : le gang responsable de cet odieux attentat réclame une rançon de deux cents francs. Sinon son canard risque de passer à la casserole...

Le commissaire Magret était invité chez nous pour déjeuner. Avec ça, papa était sûr d'obtenir une promotion. Mais tu parles ! C'était compter sans Armand.

L'abjection n'a pas de nation...Dakota, 1890. Il est bien loin, le temps glorieux des explorateurs. Les dernières poches de résistance indienne se battent farouchement contre l'armée américaine, mais la guerre est aussi psychologique et les pires bassesses sont commises dans les deux camps. Sitting Bull, ultime symbole du fier peuple indien, vient d'être assassiné au cœur de la réserve de Standing Rock. Son dernier compagnon de route se lance alors dans une errance sanglante, et massacre tous ceux qu'il trouve sur son chemin, militaires comme civils, jugés au même titre responsables de la mort de son idole, de son peuple, d'une certaine idée de l'Homme… Un jeune capitaine français pétri d'idées humanistes est mis sur sa trace, se retrouvant le témoin impuissant d'une lutte à mort entre deux peuples incapables de se comprendre.Cette histoire humaine, engagée et ambitieuse a la puissance et la précision d'un roman historique, même si c'est une fiction. À mi-chemin entre le polar et le western sauvage façon The Revenant, Olivier Mau et Fred Druart appuient là où ça fait mal, et peignent la société américaine dans une période qu'elle a préféré oublier.Un album sombre, cru et cruel, jusqu'au rebondissement final en forme de coup de poing.