L'assassinat de Jeanne a mis fin à sa nouvelle vie, commencée avec l'héritage de biens immobiliers à la mort de son père. Son expérience de la gestion immobilière avait bouleversé son ancienne existence de femme au foyer, sans enfant et dépressive, et elle s'était mise à fréquenter le monde des affaires et avait multiplié les aventures érotiques.

Mathilde, une jeune fille élevée dans une famille bourgeoise, crée son univers, autour de son père toujours absent et de sa mère confinée dans une exigence des apparences.

En 1938, trois soeurs vénézuéliennes débarquent au Havre, un fils de pasteur ayant épousé l'aînée. Ces filles, qui ont compris qu'elles pouvaient ainsi sortir de la misère, réussissent dans le Paris occupé ce qu'elle se sont promis : faire la fête, multiplier les amants et les amis de tout horizon pourvu qu'ils aient le pouvoir et l'argent. Un roman qui livre une autre vision de la France occupée.

Mathilde est née dans une famille bourgeoise dominée par la figure d'un père austère. Passionnée et impatience, la jeune femme rêve d'une vie différente et sombre dans l'anorexie, qui la conduit dans une clinique où elle se fait soigner. Elle croise la route de deux musiciens, un juif et un Russe, qui lui ouvrent les portes d'une nouvelle existence. ©Electre 2017

L'auteure, par son mariage avec Olivier Mitterrand, est devenue la nièce de l'ancien président de la République. Comment rester soi-même dans l'ombre d'un grand homme dont on porte le nom ? Que répondre aux congratulations enflammées quand on est soi-même une bourgeoise "pas rebelle du tout" et fidèle à la mémoire du général de Gaulle ?

A travers l'expérience d'un homme marqué à jamais par la mort violente de sa mère, la seule femme de sa vie, A.-M. Mitterand raconte la sage d'une famille de la grande bourgeoisie parisienne, enfermée dans ses conventions hypocrites, dans un égoïsme forcené et presque inconscient et dans son goût immodéré pour l'argent. (Livres Hebdo)

Betsy a eu une enfance malheureuse, coincée entre un père alcoolique et une mère résignée. Mariée, employée d'usine, elle rêve de liberté. Elle croit la trouver en choisissant de parcourir les routes cinq jours sur sept, comme représentante de commerce. Très vite, elle déchante. L'auteur dresse un tableau assez sombre de cette société, errant sur les routes avec l'angoisse de la solitude et de l'accident de voiture.

Dans un échange de lettres quasi quotidien, entre Paris et New York, Pénélope et Fanny, deux soeurs liées par une profonde tendresse, se racontent leur vie et leurs amours. (Livres hebdo)