Présentation de photographies Kodak sur le thème d'une vision idéale de la société américaine. Electre 2015

Quinze textes pour découvrir l'oeuvre du photographe américain Walker Evans. Revient sur son travail entre réalisme documentaire et expérimentation visuelle, représentatif de la modernité américaine au coeur du XXe siècle. Avec pour chacun des textes, des éléments de réponse à une question accompagnés d'une photographie emblématique de l'artiste. ©Electre 2017

Reprend les trois recueils du photographe américain qui constituent sa Black trilogy, The Somnambulist (1970), Déjà-vu (1972), Days at sea (1974), et retrace l'histoire esthétique et éditoriale de cet ensemble. ©Electre 2018

Puis, s'appuyant sur des projets intermédiaires, qui, à partir des années 40, rendent compte de son attraction pour la photographie vernaculaire et d'architecture, il décrit le trajet de Siskind, enseignant au New Bauhaus de Chicago (Institute of Design), puis à la Rhode Island School of Design, ami de De Kooning ou de Franz Kline, vers une photographie dont l'abstraction maîtrisée s'ancre, en définitive, dans un réalisme photographique jamais repoussé, mais utilisé de façon photographiquement différente. Siskind n'apparaît nullement par un photographe tenté par la peinture, mais passionné par la confrontation des deux mediums, sans jamais renier le sien, qu'il pousse vers de nouvelles voies. Ses voyages dans le monde entier sont alors le prétexte à un relevé de signes ou de configurations graphiques empruntant aussi bien au formalisme symbolique de Weston, qu'au surréalisme subtil de Frederick Sommer, et se rapprochant de l' « Objektive fotografie » européenne.-

A travers articles, conférences, introductions à des expositions, une analyse de la place de la photographie dans la création d'aujourd'hui.

Rétrospective sur une période faste de la photographie américaine, parvenue au triomphe sans précédent d'une reconnaissance à la fois économique et artistique. Avec des photographies de Robert Adams, Diane Arbus, Lewis Baltz, etc.

Avec Américaines Solitudes, Jean-Luc Bertini traverse les États-Unis et s'interroge sur la place de l'humain pris dans cet immense décor. Il invente ce que Gilles Mora nomme dans sa postface “une poétique de l'isolement”. Il s'agit-là d'un juste équilibre entre le photographe contemporain face à l'Amérique et cette touche humaniste héritée de la tradition française, qui lui permet de contourner habilement le “tableau photographique américain”.