Lancelot (1176-1181) est analysé comme un roman d'aventures. La chevalerie figure au centre du récit, en tant que désir guerrier qui rêve d'un héroïsme dépassant l'usage de la force. Le second axe du roman est le sentiment amoureux : comment passer d'un amour brutal, possessif, à un amour de sacrifice, de soumission, de pureté. Le texte est mis en perspective dans son contexte d'écriture. ©Electre 2022 Dans Folioplus classiques, le texte intégral, enrichi d'une lecture d'image, écho pictural de l'œuvre, est suivi de sa mise en perspective organisée en six points : • Vie littéraire : L'univers médiéval • L'écrivain à sa table de travail : Chrétien de Troyes, à la croisée de deux mondes • Groupement de textes thématique : L'errance du héros • Groupement de textes stylistique : L'exagération • Chronologie : Chrétien de Troyes et son temps • Fiche : Des pistes pour rendre compte de sa lecture • Fiche : Du tableau au texte : "La belle dame sans merci" de John Waterhouse . .

Chaque année, le royaume de Cornouailles s'acquitte d'un lourd tribut demandé par le roi d'Irlande auprès du géant Morholt. Tristan, élevé par son oncle le roi Marc de Cornouailles, se rend en Irlande pour le défier et le tue. Blessé au cours du combat par un coup d'épée empoisonnée, il est soigné par la fille du roi, Yseut... ©Electre 2018

L'histoire du jeune Perceval qui, ébloui par l'allure d'une troupe de chevaliers en armes, décide de se rendre à la cour du roi Arthur pour s'y faire adouber. Le roman, resté inachevé, est complété d'un dossier qui le met en perspective à travers des groupements de textes thématiques et stylistiques. Avec une lecture d'un tableau d'E. Burne-Jones. ©Electre 2022

Ce cycle en prose du XIIIe siècle, les spécialistes l'appellent Lancelot-Graal et le public le connaît surtout dans des versions revues, simplifiées, édulcorées, qu'on nomme généralement les romans de la Table ronde. Ce 2e volume est consacré à l'histoire de Lancelot du Lac. Les textes, établis d'après le manuscrit S 526 (Universitäts und Landesbibliothek, Bonn), sont accompagnés de variantes.

Ce poème didactique français (13e siècle), en octosyllabes, est composé de deux parties qui constituent deux oeuvres absolument distinctes. Dans la première, Guillaume de Lorris s'inspire d'Ovide pour présenter un "art d'aimer" courtois. Dans la seconde, la fin du récit est prétexte pour Jean de Meun à présenter la somme du savoir scientifique et philosophique médiéval.

Le merveilleux est très présent dans les textes du Moyen Age. D. Poirion combine ici présentation et commentaire des oeuvres. Trois interrogations habitent le commentaire : celle des relations entre cultures, celle de l'imaginaire et celle de l'écriture.