La fin de la galaxie approche ! Dutch et ses alliés s'apprêtent à mener leur dernier combat contre leur terrible ennemi, la Maîtresse (The Lady). Mais avant de reprendre les armes contre son adversaire, Dutch sera tout d'abord confrontée au fait que tout ce qu'elle croyait être vrai n'est que mensonge...

Lorsque le célèbre aviateur Charles Lindbergh battit le Président Roosevelt aux élections présidentielles de 1940, la peur s'empara des Juifs américains. Non seulement Lindbergh avait, dans son discours radiophonique à la nation, reproché aux juifs de pousser l'Amérique à entreprendre une guerre inutile avec l'Allemagne nazie, mais, en devenant trente-troisième Président des Etats-Unis, il s'empressa de signer un pacte de non-agression avec Hitler. Alors la terreur pénétra dans les foyers.

À la fin de la saison précédente, nos chasseurs de primes se retrouvent dispersés aux coins les plus reculés du J Star System. Dutch doit s'allier à son plus grand ennemi pour combattre le mal ultime, tandis que D'avin et John sont piégés dans un ascenseur avec Delle Seyah. Séparés et en mauvaise posture, pourront-ils vaincre leur véritable ennemi : la Maîtresse, manifestation incommensurable du mal ?

Flora Valley, Californie. Formée par son père à la gestion d'une terre viticole, Shelby est censée reprendre le domaine familial. Mais à la mort du patriarche, sa femme, héritière désignée, décide de vendre l'exploitation. Shelby met tout en oeuvre pour contrer ce projet. Aidée par Nate, le manager, elle n'hésite pas à rompre avec les habitudes pour éviter la faillite en modernisant le vignoble. ©Electre 2021

Victor Julien-Laferrière, vainqueur en 2017 du premier Concours musical international Reine Èlisabeth de Belgique consacré au violoncelle, présente ici deux oeuvres françaises pour violoncelle et orchestre : Outscape de Pascal Dusapin : « Le titre porte en lui même le projet musical (.) un mot riche d'une signification qui indique une variété de sens allant du plus commun au plus philosophique. « Outscape », c'est la voie ou l'opportunité de fuir, d'inventer un chemin à soi. J'ai aimé ce mot car il est au fond comme un résumé de l'histoire de mon travail». Aux côtés de cette oeuvre composée en 2015 et ici enregistrée en première mondiale (sous la direction de Kristiina Poska), le violoncelliste français, l'Orchestre National de France, cette fois sous la direction de David Robertson, célèbrent Henri Dutilleux (disparu il y a tout juste 10 ans, le 22 mai 2013), avec son fameux concerto, dont le titre est tiré d'un poème des Fleurs du mal de Baudelaire, La Chevelure : « Tout un monde lointain, absent, presque défunt »...