Le règne de Charles IX fut court – il meurt à 23 ans –, extravagant – on dit du roi qu’il lâchait des cerfs dans ses appartements pour le plaisir de les courser – et atrocement sanglant. Même si le projet fut sans doute de Catherine de Médicis, c’est Charles IX qui ordonna, en août 1572, le massacre de la Saint-Barthélemy. Accablé par l’horreur de ce carnage, il sombra dans une démence qui le conduisit en quelques mois à la mort. C’est cette terrifiante descente aux enfers que Jean Teulé raconte dans ce roman baroque et magnifique. Déjà lecteur pour Audiolib de la trilogie Millenium , Emmanuel Dekoninck se montre tout aussi à l’aise pour restituer les violences d’un XVIème siècle lui aussi déchiré par le fanatisme et les ambitions.

C'est l'histoire d'un jeune père aux allures de funambule qui salue la naissance de sa fille en allant voir toutes les femmes qu'il a aimées dans sa vie. Aucune de ces femmes ne va le reconnaître. Un roman plein de charme, de fantaisie et de tendresse.

Un magasin vend depuis dix générations tous les ingrédients inimaginables pour se suicider. La petite entreprise familiale prospère dans la tristesse et l'humeur sombre, jusqu'au jour où Alan vient au monde, apportant joie et bonne humeur, au grand désespoir de ses parents. (Electre)

Un jeune clappeur, soudain pris d'un gros coup de blues, estime que sa vie n'a plus de sens. En compagnie de son fils nouveau-né, dont il s'est emparé à la clinique, il part donc vérifier ce que pensent de lui toutes les femmes qui ont compté dans sa vie. Le drame est que ces femmes ne se souviennent pas du tout de lui...

En s'opposant à la volonté du tout-puissant Louis XIV, le marquis de Montespan, plus connu comme le mari de la favorite du roi, madame de Montespan, fut l'une des premières figures historiques à oser contester la légitimité de la monarchie absolue de droit divin. Grand prix Palatine du roman historique 2008. Prix des Maisons de la presse 2008.

Manipulés par un peintre talentueux mais pervers, un homme et une femme, exaltés par une passion naissante, font le pari que leur amour est si fort qu'ils pourront tout se dire de ce qu'ils ressentent l'un pour l'autre. Avec ce sens de l'observation aigu jusqu'à la cruauté qui le caractérise, J. Teulé révèle les pensées les plus inavouables qui traversent l'esprit des gens qui s'aiment.

En s'opposant à la volonté du tout-puissant Louis XIV, le marquis de Montespan, plus connu comme le mari de la favorite du roi, la Montespan, fut l'une des premières figures historiques à oser contester la légitimité de la monarchie absolue de droit divin. Grand prix Palatine du roman historique 2008. Prix Maison de la presse 2008.

C'est par ce surnom, Charly, que Jean Teulé désigne Charles IX, roi de France de 1560 à 1574 dont il évoque les actes les plus extravagants et sanglants : empoisonnement d'une partie de la population avec le muguet du 1er mai, fabrication de fausse monnaie, invention du poisson d'avril, etc.

Le règne de Charles IX fut court – il meurt à 23 ans –, extravagant – on dit du roi qu’il lâchait des cerfs dans ses appartements pour le plaisir de les courser – et atrocement sanglant. Même si le projet fut sans doute de Catherine de Médicis, c’est Charles IX qui ordonna, en août 1572, le massacre de la Saint-Barthélemy. Accablé par l’horreur de ce carnage, il sombra dans une démence qui le conduisit en quelques mois à la mort. C’est cette terrifiante descente aux enfers que Jean Teulé raconte dans ce roman baroque et magnifique. Déjà lecteur pour Audiolib de la trilogie Millenium , Emmanuel Dekoninck se montre tout aussi à l’aise pour restituer les violences d’un XVIème siècle lui aussi déchiré par le fanatisme et les ambitions.

Imaginer un magasin où l'on vend depuis dix générations tous les ingrédients inimaginables pour se suicider. Cette petite entreprises familiale prospère dans la tristesse et l'humeur sombre jusqu'au jour abominable où surgit un adversaire impitoyable : la joie de vivre dans la personne du petit dernier, Alan.

C'est par ce surnom, Charly, que Jean Teulé désigne Charles IX, roi de France de 1560 à 1574 dont il évoque les actes les plus extravagants et sanglants : empoisonnement d'une partie de la population avec le muguet du 1er mai, fabrication de fausse monnaie, invention du poisson d'avril, etc.

Dans trois heures, le lieutenant Pontoise pourra quitter son commissariat. Il sera alors libre d'oublier pendant deux jours les turpitudes et les angoisses qu'inflige à ceux qui l'exercent le dur métier de policier. À cet instant précis, une femme entre dans le commissariat désert et demande à être arrêtée pour avoir assassiné son mari. Le lieutenant Pontoise n'en croit pas ses oreilles. Il refuse d'entendre de telles âneries. Pendant quelques heures, la meurtrière et le policier vont s'affronter avec une violence rare. Elle veut qu'on l'arrête. Il s'y refuse absolument. Dans ce roman étrange, tiré d'une histoire authentique, Jean Teulé continue cette minutieuse exploration des mystères du coeur humain.

Dans ses vers qu'il travaillait sans relâche, Charles Baudelaire a voulu réunir dans une même musique l'ignoble et le sublime. Il a écrit cent poèmes qu'il a jetés à la face de l'humanité. Cent fleurs du mal qui ont changé le destin de la poésie française. Jean Teulé se glisse dans l'ombre de ce poète que le temps et la postérité ont figé dans la pierre des mémoires collectives. Il lui prête sa sensibilité, son rire, sa gourmandise, sa sensualité, ses abîmes. Et soudain, la vie. Avec sa verve habituelle, Jean Teulé rend un vibrant hommage au poète. Fort divertissant et très instructif !