Acclamé par l'ensemble de la presse internationale et soutenu par l'incontournable radio nationale anglaise Radio 1, le mastodonte australien de l'électro/drum'n bass a fait son chemin depuis 2002. Ce troisième album marque un retour aux sources vers un électro sans concession avec de beaux featurings tels que Liam Howlett (The Prodigy), Steven Wilson (Porcupine Tree) et le groupe de métal suédois, In Flames.

Produit et mixé par Steven Wilson lui-même, 4' a été réalisé avec la contribution d'un groupe de musiciens extraordinaires : Adam Holzman (claviers), Nick Beggs (basse), Guthrie Govan (guitare), Dave Kilminster (guitare), Marco Minnemann (percussions), Chad Wackerman (percussions), Craig Blundell (percussions) et Theo Travis. (Electre)

Lui-même amateur de pop music, Steven Wilson tenait à nous présenter son côté le plus traditionnel dans l'écriture de ses morceaux. Aussi cet album est l'occasion de redécouvrir ses titres majeurs et les plus accessibles dans un contexte moins obscur que celui des albums conceptuels desquels ils sont tirés. On retrouve ici plus d'une heure de musique enregistrée entre 2002 et 2015. Parmi les 14 titres, Steven qui a fait lui-même le tracklisting, nous propose un morceau totalement inédit (Happiness III), une nouvelle version de Lazarus ainsi que des titres remasterisés. (Electre)

Steven wilson présente the harmony codex, son fascinant septième album solo. Véritable expérience par-delà les genres, ce nouvel opus de 65 minutes fait suite au très électronique the future bites. Le leader de porcupine tree y dévoile dix titres infiniment profonds, pensés pour lécoute immersive et composés avec ninet tayeb, craig blundell, adam holzman, jack dangers (Meat beat manifesto) et sam fogarin (Interpol). Unique en son genre, the harmony codex est un album inoubliable.

Toujours plus actif que jamais, le leader de Porcupine Tree nous propose son troisième album solo enregistré par le légendaire Alan Parsons en septembre 2012 à Los Angeles avec le guitariste Guthrie Govan, le bassiste Nick Beggs, le batteur Marco Minnemann, le saxophoniste Theo Travis et Adam Holzman aux claviers pour six titres majestueux dont trois morceaux épiques de plus de dix minutes chacun.

Ce disque ambitieux a été influencé par les ouvres pop/progressives qu'il adorait dans sa jeunesse. Des disques sublimes tels que So de Peter Gabriel, Hounds of love de Kate Bush, Colour of spring de Talk Talk ou encore Seeds of love de Tears For Fears. Au niveau des textes, les onze titres de ce cinquième opus traitent du chaos paranoïaque environnant, dans lequel la vérité devient apparemment une notion de plus en plus floue. De l'observation de la vie quotidienne des réfugiés, des terroristes et fondamentalistes religieux, ainsi que d'un retour, les yeux écarquillés et peut-être plus joyeux, sur l'évasion que Steven a réussi créer à travers sa carrière jusqu'à présent. (Electre)

Véritable expérience visuelle et sonore, avec des projections sophistiquées et un son immersif en 4D, ce concert fait la part belle au vaste répertoire de l'artiste. D'une durée de presque 3 heures, il a été filmé par de multiples caméras et le son a été spécialement mixé par Steven, spécialiste reconnu du son surround 5.1. Fin mars 2018, Steven Wilson jouait trois soirs de suite à guichets-fermés dans l'un des lieux les plus emblématiques du monde : le Royal Albert Hall de Londres. Après une longue tournée européenne (avec des concerts complets, dont deux passages à Olympia de Paris) ces 3 shows londoniens couronnaient une incroyable période de 7 mois débutée avec la sortie de To the bone, le cinquième album solo de Steven. (Electre)