Invité à Amboise, âgé, malade, Léonard de Vinci traverse les Alpes en 1516. Durant le voyage, la caisse contenant la Sainte Anne (conservée au Louvre) est égarée. Dans les années qui suivent, diverses oeuvres voient le jour, comme une Joconde nue, dont l'attribution à Léonard reste douteuse. L'ouvrage explore diverses hypothèses autour de ces mystères et le quotidien du peintre en ses vieux jours.

Evocation de la fin de la vie du peintre par le cardinal Camillo Massimo, ami et protecteur de N. Poussin, de janvier à novembre 1665. Il se souvient de leurs conversations, occasion pour lui de dresser le portrait du peintre.

Rencontre imaginaire avec le peintre à l'occasion de la visite en 1767, à Paris, d'un jeune russe, Anton Pavlovitch Levitzky, envoyé par l'impératrice Catherine II pour s'enquérir de l'avancée d'un tableau commandé à Chardin.

Sollicité par un critique pour un ouvrage sur les artistes modernes, un peintre, Maxime A. rassemble ses souvenirs sur Delacroix. De Nohant, chez George Sand en 1842 jusqu'à la scène parisienne, Maxime, devenu plus proche de l'artiste, dévoile peu à peu son portrait.

Le récit, sous forme d'une conversation entre un peintre allemand des années 1960 et un historien de l'art contemporain, évoque la relation entre E. Manet et E. Degas. Un cahier documentaire explique comment le récit a été construit, présente des uvres et documents l'illustrant et fournit une chronologie des vies des deux peintres.