Analyse de la compétitivité internationale des entreprises françaises, aujourd'hui préoccupation centrale des chefs d'entreprises et des responsables politiques. Démarche de type microéconomique fondée sur la cartographie des principaux facteurs stratégiques de la compétitivité des entreprises au niveau international.

Ouvrage faisant le point sur la déstabilisation du système financier global. Analyse les solutions alternatives à la titrisation, qui seraient capables de financer l'investissement productif. Il s'interroge également sur la réglementaton nécessaire pour que les banques soient à nouveau au service de la croissance de l'économie réelle.

Une première approche didactique du fonctionnement, du financement et de la régulation de l'économie mais aussi de la crise de 2008.

A travers diverses questions traitant de la psychologie de l'argent, l'auteur revient sur les fonctionnements économiques de base, sur les valeurs émotionnelles et sociales de l'argent. Afin de comprendre les possibilités et les enjeux d'une abolition de la pauvreté, l'ouvrage se veut pluridisciplinaire, partant de l'histoire pour aller vers la psychologie et finir sur l'économie.

Une réflexion sur l'impact des statistiques sur l'économie et la finance. A la fois outils de prise de risques et de justification, elles biaisent la perception de l'environnement et dégradent la décision en la déresponsabilisant. ©Electre 2018

Dans un contexte de fort développement du commerce mondial, propose une synthèse des théories économiques et du commerce, analyse la situation et les évolutions de quatre pays (Chili, Mexique, France et Allemagne), identifie les facteurs permettant à un pays de se développer plus rapidement grâce au commerce et fait le point du débat actuel concernant la gouvernance globale du commerce.

L'économiste souligne les enjeux de la prévention des crises bancaires pour limiter leur coût et éviter les crises économiques et monétaires. A partir des exemples des crises asiatique et latino-américaine des années 1990, il applique la méthode univariée événementielle et la méthode multivariée logistique pour déterminer les facteurs de risques et présente un outil de prédiction.

La crise de 2008 et ses répercussions en 2011 sont expliquées en prenant en compte ses dimensions économiques, sociales et politiques. Les faits sont décrits et analysés en partant de leur historique : la crise financière, puis la contagion de la finance et ses conséquences sur l'économie réelle, et enfin les mesures prises, leur effet et l'évolution économique en marche après ce choc.

En 10 chapitres courts, ce précis explique et critique le système économique actuel, analysant la logique financière qui gouverne les entreprises.(Electre)

De nombreux escrocs sont séduisants. Les économistes sont de ceux-là. Car les promesses qu'ils font sont irrésistibles : croissance des revenus, augmentation du nombre d'emplois, réduction du temps de travail pour les uns, accumulation défiscalisée du patrimoine pour les autres, reprise de l'activité par les innovations... On ne refuse pas une promesse d'économiste. Et pourtant, notre environnement lui-même exprime à sa manière le ras-le-bol des déchets que notre système économique tente par tous les moyens de lui faire avaler. Il serait temps pour nos sociétés de cesser de gober les mensonges des économistes qui accompagnent cette prédation à grande échelle de nos ressources, de notre climat et du vivant. Ce petit livre, tout simplement armé d'une certaine expérience en matière de transmission des théories économiques, vise à donner à chacun, dans les termes les plus familiers possible, les moyens de ne plus être abusé par les économistes. Il suit en cela la mise en garde formulée par la grande économiste Joan Robinson : « Le but de l'étude de l'économie n'est pas d'acquérir un ensemble de réponses toutes faites aux questions économiques, mais d'apprendre à éviter d'être trompé par les économistes ».

Face à un monde en pleine mutation, à une économie durement touchée par divers problèmes internationaux, l'auteur montre qu'une société différente doit s'imposer. Selon lui, la nouvelle donne financière doit s'appuyer sur la solidarité et l'équité, sur les structures coopératives, associatives et démocratiques.

Depuis 2007, le capitalisme financier est entré dans une crise mondialisée du fait, selon l'auteur, d'une trop grande déréglementation, d'un pouvoir trop grand laissé aux marchés ces vingt dernières années. Alors que les pouvoirs politiques ne semblent envisager que la rigueur pour sortir de l'impasse, l'auteur propose d'autres alternatives financières et politiques.