La photographe créé des diptyques en associant deux images pour produire un nouveau sens. Ces photographies, petits détails anodins et poétiques du quotidien, comme une table vide ou une gaufre dans une assiette, forment un ensemble de petites histoires. ©Electre 2018

L'autobiographie du romancier, dramaturge, conteur et poète danois. Un récit rédigé en 1847 qui ressemble à une épopée où l'on croise notamment Dickens, Balzac, Lamartine ou encore Alexandre Dumas. ©Electre 2019

Le philosophe démonte les deux arguments-phare des partisans du posthumanisme : la liberté de s'augmenter et les bienfaits de l'amélioration par les techniques. Il élargit ensuite le débat à la question de l'emprise technologique sur la société contemporaine. ©Electre 2018

Notre monde est confronté aujourd'hui aux pirates somaliens ou nigérians qui attaquent indifféremment les navires de plaisance ou les pétroliers. Les Romains ont connu eux aussi bien des difficultés avec le pirate, ennemi insaisissable dès qu'il était dans son élément, réfractaire à tout traité et que le peuple haïssait plus que tout. La fin de la République romaine permet d'observer un moment de l'histoire antique où deux formes de piraterie cohabitent. La petite piraterie, immémoriale, dérangeante, dangereuse pour ceux qui la subissent mais qui n'interfère pas outre mesure dans la conduite du monde. Autrement plus préoccupante est la grande piraterie car ce ne sont plus des individus isolés qui s'y livrent mais des peuples entiers, avec leurs villes, leurs ports, leurs arsenaux. Apparue sur les rivages désolés de l'Anatolie, en Cilicie, une forme particulièrement virulente de banditisme marin va gagner peu à peu le bassin méditerranéen, se combinant avec d'autres facteurs et d'autres pirateries localisées pour finalement gêner l'expansion souveraine de Rome. Cet ouvrage donne à comprendre comment ces forbans travaillaient, quels étaient leurs bateaux, leurs tactiques, leurs butins mais aussi quels efforts a dû déployer le Sénat romain pour réduire puis éliminer ces redoutables Ciliciens.

Faut-il baptiser les enfants juifs contre la volonté de leurs parents ? La question surgit à la fin du XIIIe siècle dans une controverse scolastique qui forme le point de départ de cette enquête. L'abstraction scolastique prend chair dans une histoire de violence, dont les juifs et leurs enfants sont la cible. Elle s'étaye de sources juridiques et judiciaires, de chroniques et d'exempla. ©Electre 2016

Ce livre collectif explore de manière chronologique les différents écrits qui revendiquent l'héritage de l'interprétation des rêves, d'Artémidore de Daldis à Sigmund Freud. Les différentes époques étudiées explorent les usages médicaux mais également les pratiques ésotériques liées à ces interprétations. ©Electre 2016

Les pages 1 à 191 sont dédoublées, le texte est en grec avec la traduction française en vis-à vis. Ouvrage publié avec le concours du Centre National de la Recherche Scientique. Manque le tome 8

Ouvrage bilingue grec-français publié avec le concours du Centre National de la Recherche Scientifique. Manque le tome 8

Ouvrage bilingue grec-français publié avec le concours du Centre National de la Recherche Scientifique. Manque le tome 8

Ouvrage bilingue grec-français. Manque le tome 8 avec les tables

Ouvrage bilingue grec-français. Manque le tome 8 avec les tables

Une fresque magistrale emportant le lecteur dans plus de mille ans d'histoire des formes de vie religieuse, depuis l'apparition des premières communautés érémitiques dans le désert égyptien jusqu'à la veille de la Réforme protestante. Au IVe siècle, le monachisme fait une timide apparition en Occident, à la faveur des récits de pèlerins et d'évêques orientaux réfugiés en Europe. Quelques siècles plus tard, il occupe une place incontournable dans la société médiévale. L'ouvrage de C. H. Lawrence raconte le prodigieux essor de ce mouvement, ainsi que les nombreuses formes de vie religieuse auxquelles il a donné naissance.
Le moine, selon la célèbre Règle établie par saint Benoît au VIe siècle, partage sa journée entre la prière, le travail et l'étude. Mais la nécessité de gérer des monastères au patrimoine et aux revenus toujours plus importants, de répondre aux sollicitations des pouvoirs temporel et ecclésiastique, d'accorder une place aux femmes dans les maisons religieuses, ou encore de faire face à l'apparition de l'université obligèrent parfois les religieux à déroger aux exigences premières de la vie monastique. Au cours du Moyen Âge, de l'Irlande à l'Italie, les hommes et les femmes vouant leur vie au service de Dieu apportèrent de multiples réponses aux défis posés par ces évolutions. Ces réponses donnèrent naissance à autant de mouvements religieux (Cluny, Cîteaux, Grandmont, Sempringham' ; chanoines, templiers, frères prêcheurs') dont C. H. Lawrence dresse un portrait saisissant de force et de vitalité.

Ouvrage français avec le texte grec et la traduction française, les pages XVI à XX et 46 à 158 étant dédoublées, la traduction française étant chaque fois sur la page de gauche

Ouvrage français avec le texte grec et la traduction française, les pages 7 à 175 étant dédoublées, la traduction française étant chaque fois sur la page de gauche

Chaque numéro de page est parfois démultiplié, chacune comprenant des paragraphes en a, b, c, d, e, lesquels chevauchent parfois sur plusieurs pages qui alors portent le même numéro

Recueil d'extraits ou de pages significatives de textes de philosophes, connus ou moins connus, de l'Antiquité grecque et romaine choisis pour faire découvrir la philosophie antique et renouveler son approche traditionnelle. Chacun des philosophes abordés est introduit par une courte biographie. ©Electre 2017