Au Congo, Lucie, fille de colons belges, et Nkisu, enfant du village, vivent une amitié libre et joyeuse. A l'adolescence, tout change lorsque Nkisu intègre un séminaire et que Lucie, enceinte, rejoint un pensionnat en Belgique. Elle donne naissance à Félicité, métisse de père inconnu, qui, des années plus tard, part à la recherche de ses origines. Premier roman. ©Electre 2023

Entre 1904 et 1914, Hans l'Allemand et Jayta l'Américaine vivent une histoire d'amour au pays du Namib, qui deviendra la Namibie. Leur amour est confronté aux tensions que rencontre le pays, alors colonisé par les Allemands qui exploitent les ressources et organisent un véritable génocide. L'ouvrage s'achève sur une page documentaire qui rend compte de la situation historique. ©Electre 2024

Dix contributions explorant le modèle médiatique et économique de cette plateforme de vidéo sur Internet, leader sur ce marché, de son empreinte sémiotique à ses dimensions psychosociologiques en passant par sa puissance socioéconomique. Les trajectoires et les pratiques de youtubeurs tels qu'Ariana Grande, Usul, Dieudonné ou encore Tatiana Ventôse sont analysées. ©Electre 2024

Tout au long du Moyen Âge le mot « information » et la forme verbale in-formare conservent leur sens philosophique emprunté à Aristote de « donner une forme à… », « façonner ». Cela revient à former, à donner vie et âme à quelque chose, à un objet ou à une idée. Au Moyen Âge, le besoin de savoir ne relève pas de la simple curiosité : l'information prend le sens plein d'informer pour former. Elle existe dès avant le Moyen Âge et elle s'opère par un contact interpersonnel : le bouche à oreille, la transmission d'un support écrit. Deux canaux principaux sont privilégiés. Le premier est officiel. Il prend la forme de relations écrites complétées, le cas échéant, par un discours au contenu prévu à l'avance. L'autre est informel et repose sur la transmission orale largement confondue avec la rumeur. Le terme doit être entendu à la fois au sens de circulation des nouvelles et au sens d'enquête judiciaire lié au devoir d'information.

Un soir, Billy Brouillard surprend ses parents en pleine dispute. En cause, les défauts de leur fiston ! Plus tard, dans la nuit, Jeanne est enlevée par le monstre du placard. Billy franchit la porte du pays des monstres pour voler à son secours. Parviendra-t-il à vaincre ses doubles, et à dompter cette colère qui frémit en lui pour la retrouver ?... (Incluse la loupe de trouble-vue à filtre rouge.)

Une voix puissante de femme libre qui se raconte sur le vif et qui démonte tous les tabous sur la sexualité, l'allaitement, notre rapport au corps, l'éducation des filles, la question du genre, le rôle du père, la couleur de peau, l'état du monde... " Au cours de la matinée, je ne trouve plus mon stylo. Je le cherche partout sur mon bureau. Quand je demande à ma collègue si elle le voit, elle rit d'un air entendu en disant que j'ai le syndrome du neurone unique. J'entends souvent cette expression aux réunions du groupe pour les parents de nouveau-nés. Elle renvoie à la théorie, dénuée de tout fondement scientifique, selon laquelle le cerveau de la femme se remplit de ouate après l'arrivée de l'enfant. Seules les femmes ont l'air d'user de cette expression. Les hommes du groupe, non. Je n'ai jamais entendu parler du syndrome du neurone unique des papas. Les hommes ne disent pas cela. Parce qu'ils n'en souffrent pas : ils appellent ça être "défoncés de fatigue', reflet plus fidèle de la réalité. Bien joué, les papas. Pour les mamans, j'ajouterais volontiers quelques mots, pour dire qu'elles sont "défoncées de fatigue alors qu'elles gèrent les effets psychologiques et physiques d'une transformation interne et externe totale de leur corps'. " En 2009 : le prix UK Slam Poetry Competition En 2015 : une bourse de l'Arts Foundation En 2016 : le prix Ted Hughes pour Nobody Told Me

Un aperçu sur les recherches menées au nom du transhumanisme, leurs développements dans les champs médicaux, militaires et sportifs, ainsi que le résultat incertain de ces expérimentations. Suit une analyse du mouvement transhumaniste, qui prévoit le dépassement de l'humanité grâce à la technique et la création d'un être humain supérieur façonné par les biotechnologies. ©Electre 2018

Carrément Math est la nouvelle méthode d’apprentissage des mathématiques, qui travaille l’ensemble des compétences de base de manière transversale et qui aborde toute la matière des programmes. Cette méthode propose des situations concrètes d’apprentissage afin de relier naturellement l’apprentissage des maths à la vie quotidienne. Les enfants peuvent ainsi faire des liens entre les apprentissages mathématiques qui seront découverts et leur utilité dans la vie de tous les jours. Cela les amène également à ne pas considérer les mathématiques comme de la théorie à apprendre par cœur.

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Carrément Math est la nouvelle méthode d’apprentissage des mathématiques, qui travaille l’ensemble des compétences de base de manière transversale et qui aborde toute la matière des programmes. Cette méthode propose des situations concrètes d’apprentissage afin de relier naturellement l’apprentissage des maths à la vie quotidienne. Les enfants peuvent ainsi faire des liens entre les apprentissages mathématiques qui seront découverts et leur utilité dans la vie de tous les jours. Cela les amène également à ne pas considérer les mathématiques comme de la théorie à apprendre par cœur.

Des conseils pratiques et des informations juridiques ou historiques sur la mise en scène théâtrale, les étapes de création d'un spectacle, de la lecture de la pièce à la première, les techniques de scénographie, etc. ©Electre 2016

Peu après la fin de la Seconde Guerre mondiale, Nicolas, un jeune psychiatre français, part travailler dans un hôpital suisse connu pour ses méthodes de traitement humaines. Il s'installe dans un village de montagne isolé, aux côtés de sa femme Anna. Celle-ci s'ennuie, regrettant la vie urbaine, pendant que son mari pratique la thérapie par la parole auprès de patients traumatisés. ©Electre 2023

« Croissance, croissance », tel est le mot magique prononcé à satiété pour échapper aux crises systémiques qui deviennent notre quotidien. « Décroissance » serait un gros mot à bannir, synonyme d'une démarche prônant un retour vers l'obscurantisme, vers un passé niant le progrès. L'homme serait-il prétentieux au point de croire qu'il pourrait exploiter la planète et ses congénères jusqu'à plus soif et qu'il a créé un modèle générant toujours plus de richesses, toujours plus de plaisir ? Pourtant, depuis les thèses de Nicholas Georgescu-Roegen, nous savons que cela n'est pas possible, et Ivan Illich comme André Gorz nous ont appris qu'un autre schéma de société qui respecte tout à la fois l'environnement et l'homme est envisageable. Depuis toujours, Serge Latouche défend ce point de vue : ses chroniques et ses entretiens regroupés ici, parus dans différents médias, nous font prendre conscience de la justesse de ses analyses et de l'urgence du changement. Il n'est pas seulement question d'adapter notre attitude face au dérèglement de notre civilisation : il s'agit bel et bien de notre survie.

Réflexion sur la lecture et le rôle du lecteur. Le philosophe explique que lire est avant tout un travail d'interprétation et que cela implique une participation active du lecteur qui redonne du sens au langage en cherchant à comprendre ce que l'écrivain a voulu dire ou taire. ©Electre 2023