Pikoton, le petit hérisson, insouciant, coule des jours heureux avec ses amis de la forêt jusqu'au jour où ses piquants lui posent des problèmes, trop longs, trop lourds, ils s'emmêlent et l'empêchent d'avancer. Pikoton en a assez, décide de s'en débarasser et fait appel à ses amis.

Un joueur de trombone d'un petit orchestre parisien se retrouve sans le sou, pour avoir succombé aux charmes d'une prostituée, à La Havane. Il sera tour à tour transporteur de bananes, trafiquant d'armes et révolutionnaire au Nicaragua.

Johnny et son complice le professeur Childermass sont stupéfaits de voir leur vieil ami, le père Higgins, prétendre qu'un fantôme cherche à le contacter. Puis le prêtre disparaît soudainement. Une piste d'indices inquiétants va mener nos deux compagnons, ainsi que Fergie, le meilleur ami de Johnny, jusqu'en Angleterre, la patrie des châteaux hantés... Là, ils découvrent que le père Higgins nourrit d'étranges projets : tout laisse croire qu'il veut faire revenir sa mère d'outre-tombe ! Mais les deux garçons et le professeur ne sont pas au bout de leurs surprises, car le père Higgins semble possédé par un esprit maléfique, celui d'un chevalier mort depuis des siècles qui tente de revenir dans le royaume des vivants pour devenir... le maître du monde. Johnny Dixon pourra-t-il empêcher les morts de ressusciter ?

Monsieur Giganton est un géant. Il travaille dans un cirque où des gens du monde entier viennent le voir. Mais son fils, Benjamin est très effrayé, voire même terrorisé d'avoir pour père, un géant. Il passe son temps à le fuir jusqu'au jour où Giganton tombe malade.

L'auteur évoque l'enfance idyllique en France de l'écrivain, son adolescence misérable en Angleterre, les frasques de Maugham devenu riche dans sa retraite du sud de la France, avec les Windsor, l'Aga Khan, le romancier Wells et Churchill.

Dans le New York des célibataires yuppies, Katie Porter, une jeune femme à la recherche de l'amour, devient la cible de l'obsession mortelle de Peter Wells, prêt à supprimer tous les obstacles qui l'empêcheraient de concrétiser sa passion.

Journal de bord de maître Vergès, du 1er janvier au 9 avril 2006, dans lequel il exprime ses convictions, ses pensées et raconte son quotidien.

La petite gare a des murs de briques rouges, une horloge pour dire combien de temps il faut attendre le train, un jardinet planté de buis, avec un puits en son milieu, et encore un quai.