Suzanne est romancière, comme sa mère. Alors que celle-ci est mourante, Suzanne ne sait pas si elle pourra écrire à nouveau. Les mots et les souvenirs de sa mère se transforment en fardeau, en dette littéraire qu'elle devra rembourser.

1957, à Haïfa. Cilag, une Hongroise, vient de s'installer en Israël. Perdue dans un pays dont elle ne maîtrise pas la langue, elle fait la rencontre de deux de ses compatriotes, les frères Neimand. Cilag s'acharne à rechercher sa fille Erika, disparue lors d'une déportation. Un récit sur la difficile intégration des rescapés de la Shoah. Premier roman.

Pour le créateur de Marianne, rien n'est plus faux que l'idée d'une France allant tout droit à la catastrophe, reprise par la gauche et la droite, les souverainistes et les mondialistes, et ceci plus particulièrement depuis le non à la Constitution européenne. J.-K. Kahn dresse un état des lieux qui montre qu'il n'en est rien. Selon lui, ce sont les politiques et les médias qui s'effondrent.

Portrait acerbe de la politique française en 1977 et de leurs dirigeants. Livre partiel, personnel, qui pique la curiosité et se laisse lire avec plaisir.

J. Favier fait revivre l'esprit des plus grands pionniers et fait l'inventaire des connaissances et des motivations qui ont permis leurs exploits : curiosité intellectuelle, maîtrise des techniques de navigation mais aussi soif de richesses et volonté d'évangélisation.

L'auteur étudie l'histoire affective du bébé qui commence bien avant la naissance, c'est-à-dire, au stade embryonnaire : avant de naître les bébés sont équipés d'une organisation neuropsychologique qui les rend aptes à percevoir, traiter et structurer des informations venues de l'environnement. La force des liens familiaux pèse sur eux et les influence toute leur vie. ©Electre 2021

Celui dont Jacques Sternberg a dit : «Sur la carte de l'humour, Topor commence là où le rire finit», Celui qui remarquait : «Le treizième travail d'Hercule : trouver un emploi», Celui qui songeait que «les nuits de la semaine restent à baptiser», Ce provocateur radical et illustrateur d'abîmes, Ce maître du trait et du portrait, Cet homme qui riait de nous et de lui- même, mais pas avec n'importe qui, C'était Topor. Merci Roland Topor. S. J. Homme de plume, de pinceaux et de télévision, Roland Topor provoqua la gratitude de tous ceux qui eurent la chance de découvrir ses dessins, ses peintures, son théâtre ou ses romans. S'appuyant sur ses lectures et des entretiens avec des artistes qui furent proches Topor, Salim Jay dresse le portrait de cet homme admiré par Fellini et Prévert, salué par Mac Orlan, adapté au cinéma par Polanski, et dont l'oeuvre demeure une des plus riches énigmes de la création contemporaine.