Peter se retrouve avec un billet faux juste après s'être rendu à la braderie du printemps qui a eu lieu dans la cour du collège de Highgate, avec son père, Jenny et Miranda pour revendre leurs vieux fonds d'armoires. Qui a bien pu l'abuser ? Il n'en faut pas plus pour que nos trois détectives se lancent sur la piste des faux-monnayeurs. Bons lecteurs (à partir de 9 ans). Livres-Hebdo

Tonino, 12 ans, Indien Janacostil va bouleverser l'ordre d'un monde divisé en deux : le vaste monde des hommes riches et développés et la grande réserve où sont enfermés les peuples et les animaux menacés d'extinction.

Si ce livre placé sous le signe de Lewis Carroll permettra au lecteur de renouer avec l’érudition jubilatoire si caractéristique de l’auteur d’Une histoire de la lecture, il lui donnera également l’occasion de rencontrer un homme engagé dans l’histoire de son temps, rebelle à toutes les censures, esprit libre et pourfendeur averti des préjugés — toutes choses qui en ont fait le passionné de lecture que l’on sait. S’attachant une fois encore à célébrer la fiction, seule entreprise capable selon lui de donner au monde une cohérence à laquelle d’aucuns censeurs, de siècle en siècle, cherchent à substituer un chaos propice au maintien des esprits en esclavage, Alberto Manguel évoque aussi son parcours d’homme, d’écrivain et de citoyen. C’est ainsi qu’on découvrira dans cet ouvrage aux allures, parfois, d’autoportrait les territoires singuliers où s’enracine un humanisme subversif, habité par le souci constant de placer la création — dans tous ses états et sous toutes ses formes — au centre géométrique de l’univers social, culturel, politique. Enfin, et comme chaque fois que l’on chemine en compagnie des écrits d’Alberto Manguel, Dans la forêt du miroir représente pour le lecteur une chance renouvelée de retrouver ses enfances, sous la conduite, ici, de l’Alice de Lewis Carroll, reine des traversées et inégalable complice de ce nouveau "voyage" proposé à notre désir.

Jo, 14 ans, vendeur de frites pendant les grandes vacances, découvre la cause de la pollution des eaux du fleuve. Comment traquer les coupables ? Dans ce roman policier mené à un rythme d'enfer, on trouve autant d'humour que de suspense, ainsi qu'un réel intérêt pour les problèmes écologiques. (Livres-Hebdo)

Une petite fille de 12 ans, Pinprenelle, passe ses moments de détente à regarder travailler sa maman, sans que celle-ci le sache. Il faut dire que son métier est très intéressant : elle est voyante. Notre petite amie nous dirait que c'est une "menteuse professionnelle", mais une menteuse qui ne veut que du bien aux gens. Un beau jour, elle reçoit une cliente peu ordinaire... Petit livre très rapide et très facile à lire. Nous rentrons vite dans le sujet et nous passons un moment agréable avec, parfois, de bons fous rires ! Les problèmes de remariage sont toujours des moments difficiles pour les enfants. Les complots de ces deux petites filles ne sont pas bien méchants. Et, bien sûr, tout se termine bien. Le livre est écrit en gros caractères, ce qui est plus attrayant pour les enfants qui n'aiment pas lire. (Livre jeunesse.com)

Mort, moi, je savais ce que ça voulait dire. Enfin, mort comme on dit à l'école ou dans les jeux vidéo. "Pan, t'es mort !" et après, tout redevient comme avant. Mais mort comme Pépé, ça, non, je ne savais pas. Pépé, il m'emmenait souvent avec lui. Il m'expliquait les choses. On rigolait ensemble. Heureusement qu'il a eu l'idée de semer des petits cailloux blancs. Ses cailloux, c'étaient ses mots à lui, ses grimaces, son odeur de jardin, ses bisous qui piquaient... (Quatrième de couverture)

Tous les enfants ont un papa, même si certains n'ont pas la chance de le connaître. A force de rêver au sien, un petit garçon " sans père officiel " parvient, un soir, à le faire venir dans sa chambre. Surprise : ce n'est pas un papa grand et fort qui surgit, mais un tout petit papa de rien du tout. Et doux comme un bisou. Cette confidence à la première personne contient une réflexion intéressante sur la place du père. Un père indispensable, quelle que soit son histoire. La mise en page donne la priorité au texte, un récit dense et introspectif. Les illustrations, presque fantastiques, soulignent et accentuent le caractère fantasmagorique de l'histoire. Cette fable très sage réconfortera les enfants qui partagent la détresse du petit héros. Il incitera peut-être aussi certaines familles à se montrer plus loquaces. Quoi qu'il en soit, sa lecture en classe permettra d'ouvrir le débat. A partir de 6 ans. (La classe)

On a volé le talisman de Tie Han ! Le chien et le chat exigent l'aide de la souris pour retrouver l'anneau magique, mais le rusé matou file chez leur maître s'attibuer le seul mérite de la trouvaille. Tie Han chasse le chien de la maison et réserve au chat la douce chaleur du foyer. Depuis ce jour, le chien voue au chat une rancune tenace et celui-ci préfère l'éviter

Jo, 14 ans, vendeur de frites pendant les grandes vacances, a été témoin d'un meurtre. Mais l'assassin sait-il que Jo a tout vu ? Une nouvelle intrigue menée tambour battant par Brian Doyle, où l'humour le plus ravageur se mêle au suspense le plus haletant. (Livres-Hebdo)

Tiré d'une légende amérindienne, un conte où l'on découvre comment les hommes retrouvèrent la nuit après l'avoir perdue. (Livres-Hebdo)